Solidarité avec les photographes ukrainiens : 25 comptes Instagram à suivre

11 mars 2022   •  
Écrit par Fisheye Magazine
Solidarité avec les photographes ukrainiens : 25 comptes Instagram à suivre

Vendredi 11 mars, 16e jour de l’invasion russe en Ukraine. Des chars russes ont atteint les portes nord-est de Kiev. Selon Reuteurs, on compte au moins 13 000 morts et plus de deux millions de personnes déplacées. Le conflit ralentit la croissance mondiale, le nationalisme progresse. Incompréhensions, cauchemars, révoltes… La guerre déclenchée par Vladimir Poutine nous désempare, toutes et tous. Et si les actions de solidarité avec l’Ukraine – gouvernementales et individuelles – se multiplient, notre marge de manœuvre demeure limitée.
Nous apportons tout notre soutien au peuple ukrainien. Et, en tant que magazine de référence en photographie contemporaine, nous souhaitons mettre en avant les auteur·e·s du pays qui participent à l’écriture des nouvelles tendances. À travers cette sélection de 25 comptes Instagram, vous pourrez (re)découvrir que les questions autour des notions de corps, du genre et de l’identité déclenchent plus d’un processus de création. Peu d’images du front ici, car le photoreportage n’est pas notre identité éditoriale. Nous proposons à la place une liste d’artistes ukrainien·e·s talentueux·euses naviguant entre la photographie minimaliste, de portrait ou encore documentaire. Toutes et tous mettent leur engagement au service de l’expérimentation, et méritent d’être mis·es en lumière… Car les belles images sont indispensables, et la culture contribuera toujours à rendre le monde meilleur. 

Polina Polikarpova alias @polinaxpolikarpova

Aujourd’hui installée à Kiev, Polina Polikarpova s’est formée à l’Académie de design et d’arts de Kharkiv. Photographe et styliste, l’artiste née en 1992 aime construire des scènes, donner à ses sujets une certaine profondeur. Innocence, érotisme et extravagance se croisent dans ses clichés, et invitent le regardeur à interroger la sexualité féminine, tout comme la notion même de genre. Préférant les décors « vrais » – loin des studios – elle ancre ses personnages dans notre monde et propose ainsi une relecture du réel – comme un miroir qu’elle tendrait au spectateur.

© Polina Polikarpova / Instagram

© Polina Polikarpova / Instagram

Anton Shebetko alias @shebetko

Au cœur des créations d’Anton Shebetko se trouve la communauté LGBTQIA+. Dans un univers trash, où les flashs se multiplient et les corps se révèlent, dénudés, le photographe raconte l’histoire queer ukrainienne. Un récit porté par une politique d’effacement et une violence sous-jacente. Alors que la guerre fait rage, son thème de prédilection devient d’autant plus actuel et interroge : quelle est la place de cette communauté au sein des forces militaires ?

© Anton Shebetko / Instagram

© Anton Shebetko / Instagram

Lada Solovyova alias @artistkasolovyova

« Je veux montrer à quel point notre réalité peut être colorée, à quel point nous pouvons combiner les incompatibles. Je veux montrer l’art dans la vie de tous les jours »

, nous expliquait Lada Solovyova il y a un an.  Depuis le début du conflit, ses habituelles compositions pop et décalées ont laissé place à d’autres images. Les espaces du quotidien sont désormais ornés d’inscriptions néons, témoignages sensibles de la vie sur place.

© Lada Solovyova / Instagram© Lada Solovyova / Instagram

© Lada Solovyova / Instagram

Yulia Krivich alias @yulia­_krivich

Artiste visuelle et activiste, Yulia Krivich est née en Ukraine et vit actuellement à Varsovie. Dans son œuvre, elle tente d’explorer la notion d’identité en s’immisçant dans l’intimité de communautés marginalisées. Dans ses images – portraits authentiques ou parfois trash elle insuffle militantisme et questionne les problématiques de genres ou de migration. Depuis la guerre, sa galerie Instagram est devenue un espace où elle dénonce l’injustice et appelle à l’aide.

© Yulia Krivich / Instagram© Yulia Krivich / Instagram

© Yulia Krivich / Instagram

Marta Syrko alias @martasyrko

Après avoir étudié l’histoire de l’art, Marta Syrko s’est plongée corps et âmes dans la pratique du médium photographique. Inspirée par les mythes et les éléments, elle crée des images picturales, aux frontières de l’onirisme. S’amusant notamment avec l’eau – un accessoire qui lui permet de déformer ou de refléter les visages et les corps de ses modèles – elle altère notre perception du réel tout en offrant au regardeur une immersion sensible dans l’univers de ses sujets. Une œuvre énigmatique d’une grande délicatesse.

© Marta Syrko / Instagram© Marta Syrko / Instagram

© Marta Syrko / Instagram

Julie Poly @julie_poly

Photographe de mode, Julie Poly puise son inspiration dans ses premières amours : le documentaire et la mise en scène. Kitsch à souhait, ses créations très colorées s’affranchissent des notions de genre et de beauté et jouent malicieusement avec l’érotisme outrancier d’un autre temps. Dans des tons pop, ses clichés déconstruisent les normes de sexualité et nous invitent à reconsidérer nos penchants avec plus de liberté.

© Julie Poly / Instagram© Julie Poly / Instagram

© Julie Poly / Instagram

Oksana Meister alias @oksana.meister

C’est en Ukraine et en Allemagne qu’Oksana Meister a étudié la photographie. Aujourd’hui spécialisée dans le documentaire conceptuel et le portrait, elle croise abstraction fantaisiste et réalisme, flashs et flous artistiques pour capturer à sa manière le paysage ukrainien moderne. Crues, amusantes, ou même absurdes, ses compositions figent les textures et les corps de manière singulière. Une collection de distorsions du quotidien nous invitant à interroger notre manière de percevoir le monde.

© Oksana Meister / Instagram© Oksana Meister / Instagram

© Oksana Meister / Instagram

Xenia Petrovska alias @xenia.petrovska

La galerie numérique de Xenia Petrovska nous transporte dans un mystérieux univers. Là-bas, des néons saturés côtoient de douces lumières évanescentes. Villes dépeuplées, personnes âgées esseulées et nourriture industrielle se succèdent tour à tour dans une atmosphère surréaliste. L’étrange fascine et captive ainsi le regard de celui ou celle qui observe. Car ces tableaux hors du temps ont une particularité : ils interrogent toujours avec ironie notre perception du monde alentour.

© Xenia Petrovska / Instagram© Xenia Petrovska / Instagram

© Xenia Petrovska / Instagram

Sergey Melnitchenko alias @sergey_melnitchenko

Nous avions découvert le photographe Sergey Melnitchenko alors qu’il documentait les coulisses des cabarets dansants de Chine – là où les paillettes font scintiller les larmes et où le corps s’abîme à coups de spectacles quotidiens. Il poursuit, depuis, une œuvre atypique où se croisent réalisme cru et expérimentations abstraites. Une collection de créations fascinantes faisant dialoguer vidéo, dessin, documentaire et envolées fantaisistes.

© Sergey Melnitchenko / Instagram© Sergey Melnitchenko / Instagram

© Sergey Melnitchenko / Instagram

Synchrodogs alias @synchrodogs_official

Bien connu des amateurs d’Instagram, le duo Synchrodogs ne cesse de documenter – de manière atypique – la relation entre l’homme et son environnement. « Nous traitons de l’interdépendance entre ces deux entités, et du besoin d’un retour à la nature, d’une exploration du monde sauvage, plus grand et plus important que nos métropoles », nous confiaient-ils il y a deux ans. Plaçant les corps nus au sein d’un monde sauvage, les artistes donnent à voir des sujets vulnérables, soumis aux lois d’un espace (re)devenu sauvage.

© Synchrodogs / Instagram

© Synchrodogs / Instagram

Ivanka Lishchuk alias @znimayou

Figures fantasmagoriques figées en pleine action, voyages introspectifs, scènes de tendresse entre deux étrangers… Dans les photographies d’Ivanka Lishchuk, la poésie est à l’honneur. À l’aise en couleur comme en noir et blanc, l’artiste qui a étudié à la Kyiv-Mohyla Academy tisse des récits sensibles, où se mélangent les genres, les générations, et les émotions.

© Ivanka Lishchuk / Instagram© Ivanka Lishchuk / Instagram

© Ivanka Lishchuk / Instagram

Taras Bychko alias @tas0ma

Diplômé en droit, Taras Bychko, né en 1987 à Lviv, est petit à petit tombé sous le charme du 8e art. Il développe aujourd’hui une œuvre influencée par le documentaire et la street photography, fortement contrastée, entre noir et blanc mystérieux, décors hauts en couleur, et compositions graphiques. Dans ses œuvres, les silhouettes évoluent au sein de territoires sombres, entre nature et métropoles dystopiques, et leurs visages – souvent masqués ou cachés – s’imposent comme de nouvelles énigmes qu’il nous faut élucider.

© Taras Bychko / Instagram© Taras Bychko / Instagram

© Taras Bychko / Instagram

Oleksandr Rupeta alias @oleksandrrupeta

Personnes en situation de handicape, minorités ethniques et religieuses, communauté LGBTQIA+… Tels sont les sujets des photoreportages d’Oleksandr Rupeta. Membre de plusieurs associations de photojournalisme, il documente ainsi la vie de celles et ceux qui évoluent en marge de nos sociétés. Une façon de leur offrir de la visibilité.

© Oleksandr Rupeta / Instagram

© Oleksandr Rupeta / Instagram

Nazar Furyk alias @nazarfuryk

Photojournaliste indépendant, Nazar Furyk est un grand adepte des contrastes et des histoires fortes – souvent occultées mais pourtant bien réelles. Manifestations, hommages poignants, et préparations militaires… En couleur ou en noir et blanc, il donne à voir la résilience d’un pays qui ne laissera pas l’atrophie territoriale prendre le pas sur le mental.

© Nazar Furyk / Instagram© Nazar Furyk / Instagram

© Nazar Furyk / Instagram

Sofiya Chotyrbok alias @sofiyacho

Dans l’univers singulier de Sofiya Chotyrbok, les femmes partagent un point commun : elles n’ont pas de visage. Foulards opaques ou translucides, photos de famille ou cartographies aériennes, tapis ornementés ou napperons brodés… Quand les collages et les fragments d’images n’essayent pas de les reconstituer, ceux-ci sont toujours dissimulés. Au travers de ces portraits atypiques, elle explore ainsi les notions d’identité et de mémoires individuelles et collectives.

© Sofiya Chotyrbok / Instagram© Sofiya Chotyrbok / Instagram

© Sofiya Chotyrbok / Instagram

Valentine Bo alias @valentine_bo

Diplômée en architecture en 2007, Valentine Bo développe un univers photographique où les expérimentations sont reines. Membre de l’UPHA (Ukrainian Photographic Alternative) − un collectif indépendant qui soutient le développement de la photographie ukrainienne − l’artiste perpétue son engagement via des créations futuristes et mises en scènes tantôt engagées, tantôt caricaturales.

© Valentine Bo / Instagram© Valentine Bo / Instagram

© Valentine Bo / Instagram

Hanna Panchenko  alias @hanna_panchenko

« Je vois l’art là où les autres ne peuvent pas »

, annonce Hanna Panchenko sur son compte Instagram. Elle y dévoile une profusion de corps fragmentés. Ici, bouches lascives, mains facétieuses et globes oculaires se confondent quand ils ne rencontrent pas d’autres objets. Un discours provocateur maîtrisé et assumé.

© Hanna Panchenko / Instagram© Hanna Panchenko / Instagram

© Hanna Panchenko / Instagram

Oksana Nevmerzhytska alias @color_art_sanna

Dans les méandres d’Instagram, Oksana Nevmerzhytska a reconstitué une ville utopique où la couleur règne en maître. Des intérieurs minimalistes aux peintures vibrantes se juxtaposent ainsi à des rues pastel, nimbées de soleil. Du linge propre et une assiette en train de sécher, une brouette et un bob abandonnés semblent suggérer la présence d’individus disparus. La preuve que derrière les belles chimères se cache souvent une réalité tout autre…

© Oksana Nevmerzhytska / Instagram

© Oksana Nevmerzhytska / Instagram

Daria Svertilova alias @svertilova

Née en Ukraine, Daria Svertilova est aujourd’hui installée à Paris. Membre du collectif d’artistes ukrainiens Join the cool, elle s’attache à créer des images délicates et inspirantes. En parcourant sa galerie Instagram, on s’arrêtera volontiers sur ses portraits, dont le regard profond nous envahit instantanément. Pour composer ses images Daria Svertilova dit revenir sans cesse aux « énergies de pureté, de douceur et de vulnérabilité ». Pour son dernier projet en cours, Temporary homes elle s’intéresse aux habitants de foyers d’étudiants, au sein de sa ville natale, Kiev. En ces moments de violence inouïe, ces images sont pareilles à un refuge dans lequel se protéger.

© Daria Svertilova / Instagram

© Daria Svertilova / Instagram

Kristina Podobed alais @kristinapodobed

Dans le monde visuel de Kristina Podobed, les textures se mélangent et s’harmonisent, les couleurs et les corps s’étirent et se décomposent. Au fil de sa galerie Instagram, on s’émeut devant l’étreinte d’une mère et de son enfant, on s’émerveille devant un corps fleuri et envoutant, on s’amuse d’un visage complètement loufoque, et jamais on ne s’ennuie. Poussée par un désir d’aller toujours plus loin dans son écriture, Kristina Podobed créée un univers disruptif et exaltant.

© Kristina Podobed / Instagram© Kristina Podobed / Instagram

© Kristina Podobed / Instagram

Max Dutka  alias @maxdutka

Installé à Paris, Max Dutka raconte être tombé amoureux du 8ème art sur les bons conseils de son oncle photographe. Après un master d’histoire du cinéma, l’artiste s’est tourné vers le médium photographique pour enfin développer un style singulier, empreint de mysticisme. Ici, les contours des visages et des corps disparaissent au profit des couleurs et de la lumière. Grâce à un traitement spécifique de ses images, il crée des œuvres aux textures ensorcelantes.

© Max Dutka / Instagram© Max Dutka / Instagram

© Max Dutka / Instagram

Nikita Bereg alias @oveay

Rencontrée il y a trois ans autour d’une de nos sélections Instagram, Nikita Bereg a fait évoluer son écriture, en proposant une imagerie davantage énigmatique. Monteur de films et photographe, il se plaît à composer des images voilées et assombries, paraissant tout droit tirées de thrillers entêtants.

© Nikita Bereg / Instagram

© Nikita Bereg / Instagram

Lena Pogrebnaya alias @lena.pogrebnaya

Originaire d’Odessa, Lena Pogrebnaya a d’abord étudié l’architecture pour finalement se consacrer au 8e art. Restée fidèle à sa formation initiale, elle créée un univers inspiré de l’architecture brutaliste des années 1950 et 1970. « Pour Lena Pogrebnaya, les formes architecturales font partie de la nature – elles sont des créations de l’homme, des produits de la nature eux-mêmes. Dans son univers de “nature créant la nature”, l’être humain se sent en harmonie aussi bien dans l’environnement sauvage qu’urbain », précise la fiche biographique de son site. Au cœur de son monde imaginaire, ses modèles ne font qu’un avec les horizons qu’ils occupent.

© Lena Pogrebnaya / Instagram© Lena Pogrebnaya / Instagram

© Lena Pogrebnaya / Instagram

Mishka Bochkarëv alias @mishka_bochkaryov

« Tu m’as demandé de te parler de l’avenir ? »,

écrivait l’artiste le 9 janvier en légende de son image représentant un cercueil en feu. L’artiste semblait presque prédire l’horreur qui allait toucher son pays. Pourtant, cette remarque satirique n’est pas un acte isolé du reste de son œuvre, car c’est toujours avec un humour noir que Mishka Bochkarëv dépeint son univers. Un air désenchanté plane dans ses portraits et paysages.

© Mishka Bochkarëv / Instagram© Mishka Bochkarëv / Instagram

© Mishka Bochkarëv / Instagram

@k.emosabe

Une vue macroscopique d’un pistil de fleur, des résidus de neige sur un tronc d’arbre abandonné, une ombre portée par un verre de cristal illuminé… Ce sont autant de petits détails, presque insignifiants, que k.emosabe saisit quotidiennement. Aperçu il y a deux ans sur l’une de nos sélections Instagram, l’artiste semble aujourd’hui continuer à insuffler calme et tendresse via ses compositions minimalistes et abstraites.

© @k.emosabe / Instagram© @k.emosabe / Instagram

© k.emosabe / Instagram

Image d’ouverture © Ivanka Lishchuk / Instagram

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