Fisheye Magazine #3

Sortie en kiosque le 7 novembre 2013
Bimestriel

210 x 300 mm
124 pages
Français

Photo de couverture :
© Clint Colbert

3,004,90

Urban Culture, skate, hip-hop, graff, la rue en images

En nous lançant dans l’aventure Fisheye, nous n’imaginions pas que le champ d’exploration serait aussi vaste. Magazine de photo ? Évidement. Il s’agit de l’élément principal de notre ADN. La vérité est bien plus complexe. En s’intéressant à toutes les sortes d’images, nous poussons des portes dont on ignorait l’existence même. Cela nous oblige à sortir du petit territoire que l’on pensait si bien connaître. À s’exposer, à fouiller, à enquêter. C’est souvent désagréable de quitter la peau de l’expert, d’être en terrain découvert. Mais quelle excitation ! Quelle impression sublime de se sentir vivant ! La photo est un art, une pratique, une illustration, un outil, un moyen d’expression, une industrie, un vecteur de mémoire… et mille autres choses. Elle n’est pas unique et évolue chaque jour. Dans ce sens, elle est éminemment comparable à la musique. Il est d’ailleurs drôle de voir comme tous les photographes aiment la musique. Pour réaliser ce numéro, on a écouté beaucoup de hip-hop pour notre dossier sur la culture urbaine et l’image. Snoop Dogg, NTM, Eminem, mais aussi NOFX ou Offspring pour le skate. Un numéro de Fisheye se construit aussi en écoutant Brassens, Phoenix, Arctic Monkeys, Fatboy Slim, les Stones, les Delfonics ou le Requiem de Fauré. Suivant les sujets, le style des photographes, l’humeur. Bien sûr, cette liste n’est pas exhaustive et chaque personne de la rédaction a la sienne. Tout cela pour vous dire que la photo est un objet bizarre que des gardiens du temple ont voulu enfermer dans une boîte pour qu’elle ne leur échappe pas.

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