Fisheye Magazine #3
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Urban Culture, skate, hip-hop, graff, la rue en images
MARCHÉ DE L’ART :
Ici, c’est Paris Photo
FOCUS :
Femmes photographes
POLITIQUE :
In bed with Vladimir Poutine
MONDE :
Apatrides de Birmanie
ÉCONOMIE :
Rencontres vs Luma : combat en Arles
SOCIÉTÉ :
Illétrisme, droit de savoir(s)
LABO :
Argentique, pratique des procédés anciens
MÉTIER :
Photographe de l’identité judiciaire
En stock
UGS : FIS-MAG-003
Catégorie : Fisheye Magazine
Informations complémentaires
Poids | 0,544 kg |
---|---|
Dimensions | 30 × 23 × 1 cm |


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Fisheye Magazine #21
Fisheye MagazineL’Afrique révélée par elle-même
Cela faisait un moment que nous tournions autour de la photographie africaine sans vraiment arriver à trouver le bon angle. Évidemment, depuis la création de Fisheye, nous avons réalisé de nombreux articles sur le sujet, mais cela nous semblait mériter davantage. La créativité, l’énergie et le talent des photographes africains sont une évidence. Au-delà des pères fondateurs, notamment maliens ou sud-africains, c’est toute une nouvelle génération qui affiche son style, son point de vue et ses aspirations dans une impulsion globale qui célèbre les multiples influences du continent. Avec ce dossier, nous avons essayé de partager notre regard sur ce mouvement de fond sans chercher à être encyclopédique. Dans ce numéro 21 à la pagination augmentée (148 pages), vous trouverez aussi un focus sur la photographie polonaise, un reportage sur le festival de Valparaiso, plusieurs portfolios, de l’adolescence vue par Steeve Iuncker à la situation en Syrie vue par quatre artistes syriens. Sans oublier toutes nos rubriques habituelles : musique, vidéo, expos, livres, politique, éducation… auxquelles s’ajoute une nouvelle page « cuisine ».
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Fisheye Magazine #12
Fisheye MagazineW€b 3.0, piège ou eldorado pour la photo ?
Déjà le 12e numéro de Fisheye présent en kiosque, en librairie et très bientôt disponible sur tablette (version iPad). À la veille de son deuxième anniversaire, Fisheye garde pour boussole la curiosité à décrypter le monde à travers la photographie, et réciproquement, comme le laisse transparaître le sommaire de cette édition. De la résistance de l’argentique aux tentatives de monétisation de la photo par les réseaux sociaux – avec notre dossier Web 3.0 –, l’œil de Fisheye reste curieux. Il regarde du côté du porno et de la 3D, des reconfigurations du journalisme par la culture du lol, s’intéresse au graphisme, au renouveau de la photo en Angleterre, à la France vue d’ici – un projet documentaire conduit par ImageSingulières et Médiapart. Il fait un détour du côté de Bruxelles pour découvrir un nouveau lieu consacré à la photographie, écoute l’Observatoire de la liberté de création parler de la progression de la censure depuis les attentats à Charlie Hebdo, décrypte comment les photos de 1914-1918 et de la Shoah modifient notre perception de l’histoire sur la Toile. Fisheye prend également un grand bol d’air avec le portfolio de Massimo Siragusa sur ses Théâtres à l’italienne, exposés à La Gacilly, et celui de Philippe Grollier sur les Bonfires en Irlande du Nord. Les Tumblr des lecteurs sont toujours là, comme tous les autres rendez-vous : les expos, les livres, le labo, l’art vidéo, les projets Web et toutes les chroniques.
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Fisheye Magazine #24
Fisheye MagazineBestiaire moderne
Fisheye est un magazine de société qui traite du monde à travers le regard des photographes, et il nous a semblé évident que les auteurs engagés dans la représentation des bêtes avaient des choses nouvelles à nous raconter. Avec des images qui parlent avant tout de nous, les humains, et de la manière dont nous projetons sur les animaux nos peurs, nos faiblesses et nos organisations sociales. Dénicher les auteurs autour du globe a été un délice, une vraie chasse au trésor qui nous a permis de trouver de jolies pépites, drôles, bouleversantes ou inspirantes. La photographie animalière contemporaine nous livre des points de vue assumés, porteurs de messages forts, à l’image de William Wegman, qui signe la couverture de ce numéro. Cette 24e édition de Fisheye s’est invitée au pays du Soleil levant pour voir ce qui se passait du côté de Kyotographie, le nouveau festival qui monte, avant d’explorer les offres photographiques des Pays-Bas, aussi généreuses que variées. Puis c’est en Suède, dans la banlieue de Malmö, que nous a entraînés Martin Bogren avec ses Tractor Boys, nous offrant grâce à ses images charbonneuses une virée étourdissante dans le monde des ados. Mais nous n’avons pas négligé l’Hexagone, en passant du côté de La Gacilly, en Bretagne, pour découvrir les talents émergents, ou encore à Vichy, où l’agence Modds expose sa French touch au festival Portrait(s). Ce numéro vous entraîne encore sur d’autres territoires : Adobe prépare une révolution qui devrait recomposer le paysage en profondeur ; certaines municipalités déploient leur arsenal anti-SDF que répertorie en images le collectif Survival Group… Mais heureusement, Guerlain nous apporte une touche de poésie avec les photos de Sarah Moon, Alice Springs et Dolorès Marat qui posent leur regard sur les femmes…
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Fisheye Magazine #20
Fisheye MagazinePhotographie documentaire : En avant les histoires
Ce 20e numéro de Fisheye vous propose un dossier sur la photographie documentaire, un genre qui s’intercale entre photojournalisme et fine art, avec une histoire et des écritures en mouvement. Une appellation aujourd’hui très présente, que l’on retrouve à l’affiche de festivals et de galeries. Fisheye tente de faire la lumière sur ce pan de la photographie en donnant la parole à des auteurs, des critiques et des curateurs, et en allant voir ce qui se trame sur les réseaux sociaux. Cette 20e édition vous entraînera aussi dans un panorama de la Belgique photographique, pour un focus sur ce petit pays aux grands talents. Vous irez également en Suisse jeter un œil du côté du festival Images Vevey, avant de vous rendre à Hong Kong à la découverte des images de la nouvelle génération présentées aux Photaumnales, et de faire un détour par la Chine pour une relecture de la Révolution culturelle. Enfin, vous pourrez replonger dans le Paris underground des années 1980, faire un crochet par les quartiers de la région parisienne à la rencontre des nouveaux entrepreneurs, ou vous laisser éblouir par L’Indifférence des étoiles, le portfolio découverte de Julien Mauve. Ce numéro de rentrée marque aussi l’ouverture de la Fisheye Gallery. Un espace dédié aux auteurs contemporains porteurs d’un univers personnel fort. Le très bon accueil que vous nous avez réservé à Arles cet été, avec des milliers de visiteurs et plusieurs dizaines de tirages vendus, nous pousse à continuer cette expérimentation qui vient compléter notre magazine. Vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre sur les réseaux sociaux, sur notre site, en kiosque ou par abonnement, et nous espérons que cet engouement se matérialisera aussi à la Fisheye Gallery de Paris qui ouvrira ses portes le 29 septembre.
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