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  • Alain Keler - America
    Alain Keler - America
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    America (New-York), 1971, Alain Keler

    Dimanche 4 avril 1971. Pont de Brooklyn photographié du métro. "Arrivée Kennedy airport à 7 heures du matin. Téléphone Beryl. Autobus jusqu’à manhattan puis métro jusqu’à la 190 ème rue à Manhattan. Je suis à New York. Le rêve devient réalité." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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  • Alain Keler - America
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    America (New-York), 1971, Alain Keler

    "Je me promène dans les rues de New York pour photographier, avec quand même des endroits qui reviennent plus souvent que d’autres. Washington square est l’un d’entre eux. La place est petite, mais il s’y passe toujours quelque chose, des spectacles improvisés de chanteurs auto-proclamés, de danseurs, prestidigitateurs et autres artistes en devenir. Mais ce qui m’intéressait le plus, c’était bien les spectateurs. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. C’est mon spectacle à moi." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1971, Alain Keler

    "Je n’ai pas de date précise pour cette photo prise lorsque j’habitais à New York. Je ne me souvenais pas l’avoir prise. Le miracle des planches contact a fait qu’en retournant sur les photos faites à cette époque, cette image m’a intrigué et m’a plu. A l’époque je n’étais pas photographe, même si j’arpentais les rues de la, ville les week-end à faire des photos, lorsque je ne travaillais pas. A l’époque, lorsque je prenais des photos, personne n’objectait, comme si figer un moment naturel était assimilé à la grande histoire de la famille, ou compris comme tel. Depuis cela a bien changé." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1972, Alain Keler

    "Grand central station, New york. Je viens chercher Sheila au train. Elle habite encore chez ses parents, à Chappaqua, upstate New York, banlieue chic au nord de New York. Je fais quelques photos dans la gare, comme pour marquer mon passage, laisser une trace de cette attente de mon amoureuse." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1972, Alain Keler

    "Il y avait une fête ce jour là dans une rue de la petite Italie avec des dames vendant des tickets ou le plus chanceux gagnerait peut-être une poupée ou autre souvenir qui resterait sur des étagères avant de disparaître, oublié à son tour. C’était une kermesse de quartier où l’on prend plaisir à déambuler et à regarder les autres, à déguster des saucisses un peu grasses mais tellement bonnes, un jour ou tout le monde se sent l’égal de l’autre en partageant un même menu d’habitude réservé pour les plus pauvres." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1972, Alain Keler

    "Un parc dans le Bronx. Je travaille aux Halles de New-York, au Hunt’s point market, à charger et décharger des camions qui amènent le ravitaillement de New York. Ma journée terminée, en allant rejoindre le métro, je passe par ce petit parc vide de promeneurs, mais duquel on peut apercevoir au loin le World trade Center, tout juste terminé, et le symbole de New York, l’Empire State Building." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1972, Alain Keler

    Mardi 18 Avril 1972. "New York. Grace à mon copain Stanley qui a une agence d’emploi (Stanley Employment Agency).Je travaille dès mon arrivée dans le Bronx, à Gun Hill. Je ne me souviens plus de ce que c’était le travail, Gun Hill étant la seule indication notée dans un petit carnet qui a survécu au temps. Cela fait western. On s’attend à voir des cow boys, un shériff avec son étoile et des bandits qui vont dérober une banque. New York, c’est aussi ces noms qui me font penser à la ruée vers l’ouest des immigrants venus d’Europe à la recherche d’une terre promise, fusils à la main et revolvers à la ceinture. New York c’est aussi ces fumées mystérieuses qui semblent sortir des entrailles de la terre, terriblement photogéniques pour le photographe heureux d’être revenu dans sa ville." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1975, Alain Keler

    Dimanche 6 avril 1975. "New York. Le bureau de New York de Sygma, tenu par Eliane Laffont, me demande de faire des photos sur le troisième âge, dans des Nursing home, lieux privés nécessitant de la part du photographe une bonne dose de persuasion. Où vont paraître les photos, me demandait-on. Comme le travail n’était pas une commande d’un magazine, il m’était impossible de répondre autrement qu’en expliquant à chaque fois que je travaillais pour une agence qui fournissait des photos aux meilleurs magazines du monde, ce qui était à la fois vrai, mais aussi abstrait pour des personnes étrangères à la profession. Finalement, après avoir signé des papiers auprès de ces maisons de retraites, il me fut possible de passer du temps à photographier mes senior citizen américains." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (New-York), 1975, Alain Keler

    New York, cinquième avenue. Devant le stand des officiels pendant la parade traditionnelle de la Saint-Patrick. Lundi 17 Mars 1975. "Cette photo est restée quarante cinq ans dans une boîte, comme une belle endormie, parmi une vingtaine de films, oubliés et allongés paisiblement à côté d’autres films qui avaient été contactés depuis longtemps. Je ne l’ai découverte que l’année dernière pendant le premier confinement, la planche contact n’ayant été finalement imprimée qu’en mai 2020." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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    America (Washington), 1973, Alain Keler

    Dimanche 20 janvier 1973. Washington D.C. "Jour de l’investiture de Richard Nixon pour son deuxième mandat à la présidence des États-Unis. Je prends un autobus de New York avec des opposants. Je ferai l’aller-retour dans la journée. Il y a beaucoup de monde. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam. L’affaire du Watergate (le cambriolage des locaux du Parti démocrate à Washington n’est encore qu’un fait divers), et Richard Nixon a été réélu lors des présidentielles de novembre 1972 avec l’une des plus larges majorités jamais obtenues aux Etats-Unis." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe
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  • Gabriel Dia - Sabar
    Gabriel Dia - Sabar
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    Sabar, Gabriel Dia

    "Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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  • Gabriel Dia - Sabar
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    Sabar, Gabriel Dia

    "Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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  • Gabriel Dia - Sabar
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    "Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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  • Gabriel Dia - Sabar
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    "Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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    "Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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    "Cette série rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia
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