Retrouvez en ligne une sélection de tirages photographiques issue de nos meilleurs photographes.
Nos tirages sont produits dans des laboratoires professionnels français sur du papier d’archive de la plus haute qualité.
Chaque vente s’accompagne d’un certificat d’authenticité de la galerie numéroté et signé par l’artiste ainsi qu’une facture de la galerie.
Toutes nos œuvres sont produites à la demande et en édition limitée.
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Saints écrasés, Charlotte Abramow
TiragesIl s'agit de l'interprétation du thème "Saints écrasés" par Charlotte Abramow pendant ses études aux Gobelins.450,00€450,00€ -
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Instable, Charlotte Abramow
TiragesIl s'agit de l'interprétation du thème "Équilibre Instable" par Charlotte Abramow pendant ses études aux Gobelins.600,00€ – 2 100,00€600,00€ – 2 100,00€ -
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Portrait de Claudette, Charlotte Abramow
TiragesÀ l’époque de cette photo, Claudette avait 74 ans mais l’âme d’une enfant de 6 ans brillait dans ses yeux. Sa vitalité et sa joie de vivre m’ont appris que la beauté était intemporelle. Je voulais montrer un corps nu tel qu’il est, âgé, qui a traversé une vie, un corps qu’on n’a pas l’habitude de voir nu. Au fur et à mesure de la prise de vue, j’en oubliais que Claudette était nue tant elle était à l’aise et naturelle. Le corps est juste une enveloppe - tu seras belle tant que tu seras heureuse, et que tu incarneras ton corps. Merci Claudette de m’avoir fait comprendre cela.600,00€ – 2 000,00€600,00€ – 2 000,00€ -
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Claudette, Charlotte Abramow
TiragesÀ l’époque de cette photo, Claudette avait 74 ans mais l’âme d’une enfant de 6 ans brillait dans ses yeux. Sa vitalité et sa joie de vivre m’ont appris que la beauté était intemporelle. Je voulais montrer un corps nu tel qu’il est, âgé, qui a traversé une vie, un corps qu’on n’a pas l’habitude de voir nu. Au fur et à mesure de la prise de vue, j’en oubliais que Claudette était nue tant elle était à l’aise et naturelle. Le corps est juste une enveloppe - tu seras belle tant que tu seras heureuse, et que tu incarneras ton corps. Merci Claudette de m’avoir fait comprendre cela.2 400,00€2 400,00€ -
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Metamorphosis, Charlotte Abramow
Tirages« Metamorphosis » est le projet de fin d’études de Charlotte à l'école des Gobelins. Une série personnelle qui avait pour thème « l’émergence de la puberté chez la jeune fille » et toutes les modifications étranges, physiques et mentales qu’elle implique. Métaphore des plantes. Réalisé en collaboratioon avec l’artiste végétal Duy Anh Nhan Duc.900,00€ – 3 500,00€900,00€ – 3 500,00€ -
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This is Not Consent, Charlotte Abramow
TiragesUn string n'est pas un consentement. Les femmes doivent être libres de s'habiller comme elles le souhaitent : porter des sous-vêtements sexy en dentelle, des mini-jupes, des décolletés, ne signifie pas que vous voulez être violée. Ce n'est pas une invitation à un acte sexuel. Ce n'est pas un feu vert. Ce n'est pas un consentement. -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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The Wall – Yana Sidash
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.350,00€ -
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At the origins #6 – Xenia Petrovska
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.600,00€ -
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At the origins #2 – Xenia Petrovska
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.600,00€ -
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At the origins #5 – Xenia Petrovska
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.600,00€ -
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At the origins #1 – Xenia Petrovska
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire. C’est qu’il s’agit de faire objection à une agression qui vise à briser l’idéal d’une nouvelle Ukraine.600,00€ -
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Young and Free – Sergey Melnitchenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation.500,00€ -
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Young and Free – Sergey Melnitchenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation,500,00€ -
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Young and Free – Sergey Melnitchenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation,500,00€ -
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Young and Free – Sergey Melnitchenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation,500,00€ -
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Disturbing Beauty – Yana Hryhorenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.650,00€ -
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Disturbing Beauty – Yana Hryhorenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.650,00€ -
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Disturbing Beauty – Yana Hryhorenko
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe. Et pourtant les lueurs rougeoyantes qui percent à l’image l’emportent dans une tentative d’exutoire sinon d’échappatoire.650,00€ -
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Sleep – Igor Chekachkov
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.400,00€ -
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Sleep – Igor Chekachkov
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.400,00€ -
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Sleep – Igor Chekachkov
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.400,00€ -
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Sleep – Igor Chekachkov
TiragesDéclaration de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier. Au milieu du conflit, prennent place des êtres entraînés dans une quête d’émancipation, parfois animés par un désir incandescent mais bientôt aussi figés dans la dystopie qui s’installe.400,00€ -
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Before – Yulia Appen
TiragesLe décor laisse émerger un détour par un passé enchanté, un avant où les possibles sont encore déchiffrables dans le monde ambiant puis les stigmates qui témoignent du basculement vers le drame du 24 février dernier en Ukraine.200,00€ -
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Before – Yulia Appen
TiragesLe décor laisse émerger un détour par un passé enchanté, un avant où les possibles sont encore déchiffrables dans le monde ambiant puis les stigmates qui témoignent du basculement vers le drame du 24 février dernier en Ukraine.200,00€200,00€ -
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Before – Yulia Appen
TiragesLe décor laisse émerger un détour par un passé enchanté, un avant où les possibles sont encore déchiffrables dans le monde ambiant puis les stigmates qui témoignent du basculement vers le drame du 24 février dernier en Ukraine.200,00€200,00€ -
1 000,00€ – 2 500,00€
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600,00€ – 3 100,00€
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600,00€ – 3 200,00€
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600,00€ – 2 600,00€
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1 000,00€ – 4 000,00€
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600,00€ – 3 200,00€
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1 000,00€ – 3 100,00€
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1 000,00€ – 3 100,00€
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2 000,00€ – 3 100,00€
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.2 300,00€2 300,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.2 300,00€2 300,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.1 900,00€1 900,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.1 900,00€1 900,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.1 900,00€1 900,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.1 900,00€1 900,00€ -
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Métamorphoses, Gabriel Dia
TiragesÉvanescent, écarlate, masqué, luminescent, exposé, soustrait, divisé, nu, bigarré, déguisé, stupéfait, traversé, portraits contrariés de mes états émotionnels. Jouant avec les ombres, les doubles expositions, le grain, les flashs, Gabriel Dia compose une série de portraits métaphoriques, dans lesquels sa silhouette est aussi bien épiée que dissimulée. De la mode aux arts plastiques, aux représentations plus expérimentales, l’artiste fusionne les genres, animé par un désir féroce de révéler son identité sans restriction aucune. « J’ai cette sensation que le corps est le moyen d’expression le plus vaste et le plus fort. On naît dedans, on ne peut pas s’endébarrasser.C’est l’outil le plus puissant commente-t-il. Et de ce corps-à-corps intime, où il endosse les roles d’adversaire et de confident, naissent des instants de grâce. Des moments d’apesanteur où l’humain s’élève, porté par la tolérance et la joie qui animent les clichés. « C’est la signification du titre de cette série : je me métamorphose. Je deviens quelqu’.un d’autre pour être moi », conclut Gabriel Dia.1 900,00€1 900,00€ -
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Mirror #4- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesImprimée sur un miroir, cette photographie de deux jumeaux nigériens est une mise en abîme de la dualité d'une âme en vous renvoyant votre reflet.2 500,00€2 500,00€ -
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Mirror #2- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesImprimée sur un miroir, cette photographie de deux jumeaux nigériens est une mise en abîme de la dualité d'une âme en vous renvoyant votre reflet.3 500,00€3 500,00€ -
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Mirror #1- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesImprimée sur un miroir, cette photographie de deux jumeaux nigériens renvoie le reflet de votre dualité.5 000,00€5 000,00€ -
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Painted Work #7- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jeunes filles, des jumelles sont photographiées au milieu de la foule. Elles portent une tenue traditionnelle Yoruba semblable. Les visages de personnes qui n'ont pas de jumeaux sont peints en orange.2 200,00€2 200,00€ -
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Painted Work #6- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux femmes nigériennes portent des jumeaux enfants dans leur dos, elles portent des tenues Yoruba.2 200,00€2 200,00€ -
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Painted Work #5- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumelles posent pour les photographes sur un fond bleu électrique. Elles portent toutes les deux un voile rose fuchsia.2 000,00€2 000,00€ -
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Painted Work #3- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jeunes jumeaux sont photographiés au milieu de la foule lors d'une fête traditionnelle en leur honneur. Les visages de personnes qui n'ont pas de jumeaux sont peints en bleu.4 000,00€4 000,00€ -
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Painted Work #2- Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jeunes, jumeaux sont photographiés au milieu de la foule. Les visages de personnes qui n'ont pas de jumeaux sont peints en orange durant une fête Yoruba pour célébrer la bénédiction que représente les jumeaux.7 000,00€7 000,00€ -
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Painted Work #1 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesLors d'une fête en leur honneur au Nigéria, les jumeaux portent tous des masques en duo pour montrer leur gémellité.7 000,00€7 000,00€ -
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Watercolor on Photo #12 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesUne jeune maman nigérienne qui porte la burka tient ses jumeaux dans ses bras. Ils portent une tenue blanche et jaune. Le fond est fait à l’aquarelle jaune.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #11 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumeaux nigériens posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba bleue claire rayée, la jeune fille porte une jupe. Le fond est fait à l’aquarelle rouge vif. Une main d'enfant apparait dans le coin droit de la photo.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #10 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumeaux nigériens posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba bleue claire rayée. Le fond est fait à l’aquarelle bleu électrique.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #9 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesUne jeune maman en tenue traditionnelle Yoruba bleue tient ses jumeaux dans ses bras. Ils sont aussi habillés de la tenue traditionnelle Yoruba jaune. Ils posent sur un fond d'aquarelle rose.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #8 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux paires de jumeaux sont en tenues traditionnelles Yoruba, les aînés sont en jaune et les benjamins sont en bleu. Le fond est fait à l'aquarelle bleue.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #7 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesUne jeune maman en tenue traditionnelle Yoruba tient ses jumeaux dans ses bras. Le fond est fait à l'aquarelle rouge vif.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #6 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumeaux nigériens posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba. Le petit garçon porte un ensemble blanc à motif et la petite fille, une robe du même motif. Le fond est fait à l'aquarelle rouge vif.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #5 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumelles nigériennes posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba orange et blanche. Le fond est fait à l'aquarelle bleue.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #4 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumelles nigériennes posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba jaune et bleu. Le fond est fait à l'aquarelle rose.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #3 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumeaux nigériens posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba jaune et violette. Le fond est fait à l'aquarelle violette.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #2 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumeaux nigériens posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba bleue claire. Le fond est fait à l'aquarelle jaune.1 000,00€1 000,00€ -
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Watercolor on Photo #1 – Bénédicte Kurzen et Sanne de Wilde
TiragesDeux jumelles nigériennes posent pour les deux photographes dans une tenue traditionnelle Yoruba bleue. Le fond est fait à l'aquarelle rose.1 000,00€1 000,00€ -
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Where the sons of eternity singing, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.350,00€350,00€ -
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Where the sons of eternity singing, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.350,00€350,00€ -
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Where the sons of eternity singing, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.450,00€450,00€ -
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Planches contact, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.450,00€450,00€ -
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Nowhere near, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.450,00€450,00€ -
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Nowhere near, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.350,00€350,00€ -
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Nowhere near, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.350,00€350,00€ -
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Nowhere near, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe installée en Italie, diplômée en photographie de la Fondazione Studio Marangoni à Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le thème de la migration. L'insécurité, les conflits, les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses émergent de son travail. Des situations d'urgence qui vont bien au-delà des arguments économiques ou de la recherche d'un emploi, souvent utilisés à des fins politiques.350,00€350,00€ -
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Nowhere near, Alisa Martynova
TiragesAlisa Martynova est une photographe russe basée en Italie, diplômée en photographie du Fondazione Studio Marangoni de Florence. Depuis quatre ans, elle travaille sur le sujet de la migration. Ressortent de son travail, l’insécurité, les conflits, et les discriminations sexuelles, sociales ou religieuses. Des situations d’urgence qui dépassent largement les arguments économiques ou la recherche d’un travail, souvent utilisés politiquement.350,00€ -
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Frontière(s), Maxime Taillez
TiragesDans ce travail fait en France, le photographe Maxime Taillez crée une résonance entre toutes ces notions complexes qui constituent les frontières, physiques ou immatérielles, et nous invite à repenser notre propre relation à cette notion clé qui définit à la fois une limite et une ouverture. Les frontières sont l’héritage et la manifestation d’une lente construction culturelle, conceptuelle et technologique : les langues, monnaies, barrières, papiers d’identité, caméras, satellites de surveillances... et de nombreuses autres inventions qui structurent le sentiment d’appartenance.600,00€600,00€ -
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Frontière(s), Maxime Taillez
TiragesDans ce travail fait en France, le photographe Maxime Taillez crée une résonance entre toutes ces notions complexes qui constituent les frontières, physiques ou immatérielles, et nous invite à repenser notre propre relation à cette notion clé qui définit à la fois une limite et une ouverture. Les frontières sont l’héritage et la manifestation d’une lente construction culturelle, conceptuelle et technologique : les langues, monnaies, barrières, papiers d’identité, caméras, satellites de surveillances... et de nombreuses autres inventions qui structurent le sentiment d’appartenance.600,00€600,00€ -
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Frontière(s), Maxime Taillez
TiragesDans ce travail fait en France, le photographe Maxime Taillez crée une résonance entre toutes ces notions complexes qui constituent les frontières, physiques ou immatérielles, et nous invite à repenser notre propre relation à cette notion clé qui définit à la fois une limite et une ouverture. Les frontières sont l’héritage et la manifestation d’une lente construction culturelle, conceptuelle et technologique : les langues, monnaies, barrières, papiers d’identité, caméras, satellites de surveillances... et de nombreuses autres inventions qui structurent le sentiment d’appartenance.600,00€600,00€ -
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Frontière(s), Maxime Taillez
TiragesDans ce travail fait en France, le photographe Maxime Taillez crée une résonance entre toutes ces notions complexes qui constituent les frontières, physiques ou immatérielles, et nous invite à repenser notre propre relation à cette notion clé qui définit à la fois une limite et une ouverture. Les frontières sont l’héritage et la manifestation d’une lente construction culturelle, conceptuelle et technologique : les langues, monnaies, barrières, papiers d’identité, caméras, satellites de surveillances... et de nombreuses autres inventions qui structurent le sentiment d’appartenance.600,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui préfère travailler sur le long terme, en se concentrant sur la santé mentale, l'éthologie et la construction d'un futur imaginaire au-delà de notre époque actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique qui interroge la relation entre les humains et les animaux.450,00€450,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopard
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animale avec cet envol de papillon.470,00€470,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animale en l'évoquant grâce à des éléments organiques.470,00€470,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animale en évoquant le contact du serpent et des mains qui le manipulent.470,00€470,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animale en évoquant le grondement de la nature qui relie les créatures.600,00€600,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animal avec ces escargots qui remontent le long d'une paire de jambes masculine.470,00€470,00€ -
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Écosystèmes, Chloé Azzopardi
TiragesChloé Azzopardi est une photographe française qui privilégie les travaux au long-court, s’intéressant à la santé mentale, à l’éthologie et à la construction d’un futur imaginaire dépassant notre ère actuelle. Dans cette série, la photographe développe une fable futuriste et métaphorique questionnant la relation de l’humain à l’animal avec ces papillons qui habillent délicatement une main tendue.470,00€470,00€ -
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The Spiritual Warrior, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d’images d’archives ainsi que ses propres photographies.20 000,00€20 000,00€ -
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The Creation of Life, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d’images d’archives ainsi que ses propres photographies.8 500,00€8 500,00€ -
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Minotaure Head, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d’images d’archives ainsi que ses propres photographies.8 500,00€8 500,00€ -
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African Mythologies, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d’images d’archives ainsi que ses propres photographies.2 000,00€2 000,00€ -
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The Black Body Heritage, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d’images d’archives ainsi que ses propres photographies.2 000,00€2 000,00€ -
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Divine, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique.5 500,00€5 500,00€ -
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Mask, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Nourrie par une série d’objets d’art africains qui lui ont été prêtés par Amia, grand collectionneur basé à Brooklyn, Delphine Diallo met en scène des masques traditionnels pour créer une série d'autoportraits saisissants.900,00€900,00€ -
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The Power of the Soul, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Ses collages uniques rassemblent des découpes d'images d'archives ainsi que ses propres photographies.5 500,00€5 500,00€ -
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Transmutation Warrior, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique. Nourrie par une série d’objets d’art africains qui lui ont été prêtés par Amia, grand collectionneur basé à Brooklyn, Delphine Diallo met en scène ces objets, comme dans cette image où elle porte une parure de guerrière.6 000,00€6 000,00€ -
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Diptyque, Delphine Diallo
TiragesÀ travers sa nouvelle série Golden Age, Delphine Diallo revient sur toutes ses thématiques engagées avec comme leitmotiv « la transmutation du corps féminin ». La photographe assume pleinement l’hybridation de son travail, féministe, historique, spirituelle et thérapeutique.6 500,00€6 500,00€ -
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Notre-Dame, Alain Keler
TiragesTrois ans après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, la Fisheye Gallery revient sur cet événement qui a marqué Paris et la France entière en mettant à l’honneur des grands noms du photo-journalisme. Alain Keler est membre de l’Agence MYOP depuis 2008. Il a réalisé des reportages en zone de conflits depuis les années 1980, au Liban, en Tchétchénie, en Israël, en Palestine, en Iran, au Salvador… Il est lauréat d’un World Press Photo en 1986 et du Prix W. Eugene Smith en 1997.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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Notre-Dame, Stéphane Lagoutte
TiragesTrois ans après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, la Fisheye Gallery revient sur cet événement qui a marqué Paris et la France entière en mettant à l’honneur des grands noms du photo-journalisme. Stéphane Lagoutte est un photographe documentaire dont le travail décrypte la société sur le vif ou à long terme et privilégie la rencontre avec les humains. Il est membre de l’agence MYOP depuis 2009.1 600,00€ – 1 800,00€1 600,00€ – 1 800,00€ -
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Notre-Dame, Ed Alcock
TiragesTrois ans après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, la Fisheye Gallery revient sur cet événement qui a marqué Paris et la France entière en mettant à l’honneur des grands noms du photo-journalisme. Ed Alcock est un photographe franco-britannique, membre de l’agence Myop, il travaille pour la presse internationale et collabore avec de nombreux médias (Le Monde, Libération, Télérama, The New York Times, The Guardian, The Observer, El País...).1 000,00€ – 1 600,00€1 000,00€ – 1 600,00€ -
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L’amante aux seins nus (turquoise), Christine Spengler
TiragesL'Amante aux seins nus (turquoise) est une oeuvre réalisée en 1988 par Christine Spengler. A la frontière de l'intime et de l'extime, la photographie donne à voir la sensualité d'une femme anonyme dont on croirait le portrait retrouvé dans un tiroir. Ce dernier est décoré de tissus et bijoux, rappelant la flamboyance des ornementations hispaniques.3 500,00€3 500,00€ -
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Christ aux piments, Christine Spengler
TiragesLe Christ aux piments est un photomontage réalisé en 1999 par Christine Spengler. La figure du Christ est paré d'un collier de piments, rappelant dans sa forme la couronne d'épines. Les matières l'entourant (cactus, oursin) l'évoquent également. L'enluminure plastique telle que pratiquée par l'artiste est par là une invitation au sacré autant qu'une réappropriation de son caractère.3 500,00€3 500,00€ -
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La danseuse Elvira Lucena, Christine Spengler
TiragesCette oeuvre a été réalisée en 1990 par Christine Spengler. Elle met en scène la célèbre danseuse espagnole Elvira Lucena dont la beauté est ici enluminée de matières organiques (coraux et poivrons). Les tissus et bijoux finissent d'envelopper le personnage, l'élevant au rang d'icône.3 500,00€3 500,00€ -
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Le torero José Claro «Pepete», Christine Spengler
TiragesLe torero José Claro "Pepete" a été réalisé en 1988 par Christine Spengler. Trace de son enfance passée à Madrid, elle aime à représenter ces héros nationaux dans leurs costumes de lumière. Inspirée par le raffinement et l'élégance des ornementations hispaniques, elle cherche à les retrouver dans les objets convoqués pour ses photomontages.3 500,00€ -
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Larmes de la Vierge, Hommage à Christian Lacroix, Christine Spengler
TiragesLarmes de la Vierge est une composition réalisée par Christine Spengler en 1996. Elle représente un portrait en couleur de la Vierge délicatement orné de bijoux prêtés par Christian Lacroix, conférant à la représentation iconique un aspect baroque. A la manière d'une enluminure plastique, l'assemblage de diverses matières prolongeant la photographie vient égayer une scène élégiaque.3 500,00€3 500,00€ -
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Mokhtar, l’homme Bleu, Christine Spengler
TiragesMokhtar, l'homme bleu, est une composition réalisée par Christine Spengler en 1996, en Algérie. Un homme dont le visage est recouvert d'un chèche se tient devant un paysage désertique. L'artiste décore, "illumine" cette photographie avec divers objets : bijoux en argent, petites pierres, fragments de miroir, tissus colorés...4 000,00€4 000,00€ -
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Luna Park en Iran, Christine Spengler
TiragesLuna Park en Iran est une photographie prise dans un parc d'attraction au nord de Téhéran en 1979. Sur cette oeuvre unique, Christine Spengler décore le cliché de peinture et de calligraphies inédites.
9 000,00€ -
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L’Opéra du monde d’après le bombardement de Phnom-Penh, Christine Spengler
TiragesL'Opéra du monde d’après le bombardement de Phnom-Penh (Cambodge, 8 avril 1975) est l'un des clichés les plus emblématiques de la carrière de Christine Spengler, grande photoreportère. Ses photographies témoignent des plus grands conflits de la seconde moitié du XXème siècle. En 1990, à Saint-Paul-de-Vence, cette oeuvre est décorée, "enluminée" par l'artiste qui réalise des photomontages colorés à partir de portraits ou de clichés en noir et blanc, une manière de faire "triompher la vie sur la mort".10 000,00€10 000,00€ -
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America (Washington), 1973, Alain Keler
TiragesDimanche 20 janvier 1973. Washington D.C. "Jour de l’investiture de Richard Nixon pour son deuxième mandat à la présidence des États-Unis. Je prends un autobus de New York avec des opposants. Je ferai l’aller-retour dans la journée. Il y a beaucoup de monde. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam. L’affaire du Watergate, (le cambriolage des locaux du Parti démocrate à Washington n’est encore qu’un fait divers), et Richard Nixon a été réélu lors des présidentielles de novembre 1972 avec l’une des plus larges majorités jamais obtenues aux Etats-Unis." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
Tirages"Mardi 4 juillet. Fête nationale aux Etats-Unis. Il y a des festivités dans Wall Street, la rue qui a donné son nom au quartier symbole du capitalisme mondial, avec la bourse, le New York Stock Exchange. La rue est minuscule, enserrée entre des immeubles plutôt austères. Il y a de la musique, des gens qui dansent. C’est festif comme sait l’être New York. Les policiers sont sympas, tout le monde, ou presque, semble heureux. C’est vrai que j’aime aussi ces moments de répit, brèves interruptions d’un univers sans pitié. Et puis, il y a ces deux hommes qui regardent de loin la foule s’amuser. Ils font face à l’église de la Trinité, garante du centre financier du monde. Ils sont ailleurs, de passage sans doute, comme des étrangers. Ce que j’aime dans ces moments là ce sont les questions que l’on se pose, les choses que l’on imagine, les histoires que l’on se raconte. Et que l’on se reposera quarante ans plus tard en regardant la photo, toujours sans réponse. La photographie laisse la place à une part de rêverie pour que l’imagination puisse s’y engouffrer. Chacun y voit quelque chose. C’est la métaphore d’une image." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
Tirages"Parmi les nombreux emplois que j’ai fait durant toutes mes années à New York, il y en a un où je suis resté un peu plus longtemps que les autres dans le Bronx. Toy Novelty était une petite entreprise qui distribuait des articles de bureau, et sans doute des jouets, je ne me souviens plus très bien. Les employés étaient noirs, portoricains. J’étais l’un des rares blancs, le frenchie qui parlait avec un accent qu’ils s’empressaient gentiment de moquer. Le matin, avant de commencer le travail nous allions dans une lunchonette comme il en existait beaucoup à l’époque à New York. Elle était tenue par des grecs. Un jour, ils m’ont mis du sel dans mon café. Tout le monde était mort de rire, sauf moi. Le Bronx était si près de Manhattan, et en même temps si loin." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1971, Alain Keler
Tirages"1971, New york, madison square garden. Un combat de catch dans cette arène mythique. Poussé par la curiosité et la gratuité de cet événement je suis allé voir et sentir cette ambiance de films américains en noir et blanc des années 50." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1973, Alain Keler
Tirages"Central Park, New York. Quatre cent cinquantième anniversaire de la fondation de la ville de San Juan de Puerto Rico. Musique, discours, familles. Il y a une importante communauté portoricaine à New York. La femme au premier plan est belle, la photo est classique, mais c’est ce que j’aime, du 35 mm. J’ai toujours apprécié cette image. Comme cette planche contact endormie, sortir les photos de leur torpeur est un immense plaisir. Nos images sont faites pour vivre aussi longtemps que nous, et même plus. La photographie est mémoire." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1971, Alain Keler
Tirages"J’aimais bien le métro à New York. Rapide, très bruyant, avec ces scènes de vie , ces personnes occupées à lire le New York Times ou le NY Post ou encore le populaire Daily News avec ses titres racoleurs. Le trajet entre mon petit chez-moi dans le village et mon travail dans le Bronx, encore plus haut que le haut de la ville me prenait facilement 45 minutes. Assis ou debout, accompagné de mon appareil qui, comme moi, découvrait les différents aspects de la ville monde." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€900,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
TiragesAmerica est une exposition retrouvée, certains négatifs n’ont été développé pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement l’année dernière. La Fisheye Gallery invite à se plonger dans les images d’un jeune passionné qui deviendra le photographe que l’on connait aujourd’hui.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1975, Alain Keler
TiragesManifestation de cypriotes grecs contre l'invasion turque de Chypre. Cinquième avenue, New-York. Mars 1975.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1975, Alain Keler
TiragesEn 1971, Alain Keler, 26 ans, arriva aux États-Unis, il vint par amour pour rejoindre une américaine qu’il a rencontré dans un précédent voyage en Asie. Un billet sans retour pour New-York et un attaché-case de ces photos sous le bras, il y rencontra John G. Morris légendaire directeur de la photographie du New-York Times qui l’invita à rester en contact. 26 ans plus tard, c’est le même homme qui l’appellera pour lui dire qu’il est le lauréat du Prix Eugene Smith – le plus prestigieux prix remis à un photojournaliste et toujours l’un des seuls français, avec Gilles Peress en 1984, à en être titulaire. America est une exposition retrouvée, certains négatifs n’ont été développé pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement l’année dernière. La Fisheye Gallery invite à se plonger dans les images d’un jeune passionné qui deviendra le photographe que l’on connait aujourd’hui.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1975, Alain Keler
TiragesAmerica est une exposition retrouvée, certains négatifs n’ont été développé pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement l’année dernière. La Fisheye Gallery invite à se plonger dans les images d’un jeune passionné qui deviendra le photographe que l’on connait aujourd’hui.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
TiragesAmerica est une exposition retrouvée, certains négatifs n’ont été développé pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement l’année dernière. La Fisheye Gallery invite à se plonger dans les images d’un jeune passionné qui deviendra le photographe que l’on connait aujourd’hui.900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1971, Alain Keler
TiragesDimanche 4 avril 1971. Pont de Brooklyn photographié du métro. "Arrivée Kennedy airport à 7 heures du matin. Téléphone Beryl. Autobus jusqu’à manhattan puis métro jusqu’à la 190 ème rue à Manhattan. Je suis à New York. Le rêve devient réalité." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1971, Alain Keler
Tirages"Je me promène dans les rues de New York pour photographier, avec quand même des endroits qui reviennent plus souvent que d’autres. Washington square est l’un d’entre eux. La place est petite, mais il s’y passe toujours quelque chose, des spectacles improvisés de chanteurs auto-proclamés, de danseurs, prestidigitateurs et autres artistes en devenir. Mais ce qui m’intéressait le plus, c’était bien les spectateurs. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. C’est mon spectacle à moi." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1971, Alain Keler
Tirages"Je n’ai pas de date précise pour cette photo prise lorsque j’habitais à New York. Je ne me souvenais pas l’avoir prise. Le miracle des planches contact a fait qu’en retournant sur les photos faites à cette époque, cette image m’a intrigué et m’a plu. A l’époque je n’étais pas photographe, même si j’arpentais les rues de la, ville les week-end à faire des photos, lorsque je ne travaillais pas. A l’époque, lorsque je prenais des photos, personne n’objectait, comme si figer un moment naturel était assimilé à la grande histoire de la famille, ou compris comme tel. Depuis cela a bien changé." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
Tirages"Grand central station, New york. Je viens chercher Sheila au train. Elle habite encore chez ses parents, à Chappaqua, upstate New York, banlieue chic au nord de New York. Je fais quelques photos dans la gare, comme pour marquer mon passage, laisser une trace de cette attente de mon amoureuse." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
Tirages"Il y avait une fête ce jour là dans une rue de la petite Italie avec des dames vendant des tickets ou le plus chanceux gagnerait peut-être une poupée ou autre souvenir qui resterait sur des étagères avant de disparaître, oublié à son tour. C’était une kermesse de quartier où l’on prend plaisir à déambuler et à regarder les autres, à déguster des saucisses un peu grasses mais tellement bonnes, un jour ou tout le monde se sent l’égal de l’autre en partageant un même menu d’habitude réservé pour les plus pauvres." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
Tirages"Un parc dans le Bronx. Je travaille aux Halles de New-York, au Hunt’s point market, à charger et décharger des camions qui amènent le ravitaillement de New York. Ma journée terminée, en allant rejoindre le métro, je passe par ce petit parc vide de promeneurs, mais duquel on peut apercevoir au loin le World trade Center, tout juste terminé, et le symbole de New York, l’Empire State Building." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1972, Alain Keler
TiragesMardi 18 Avril 1972. "New York. Grace à mon copain Stanley qui a une agence d’emploi (Stanley Employment Agency).Je travaille dès mon arrivée dans le Bronx, à Gun Hill. Je ne me souviens plus de ce que c’était le travail, Gun Hill étant la seule indication notée dans un petit carnet qui a survécu au temps. Cela fait western. On s’attend à voir des cow boys, un shériff avec son étoile et des bandits qui vont dérober une banque. New York, c’est aussi ces noms qui me font penser à la ruée vers l’ouest des immigrants venus d’Europe à la recherche d’une terre promise, fusils à la main et revolvers à la ceinture. New York c’est aussi ces fumées mystérieuses qui semblent sortir des entrailles de la terre, terriblement photogéniques pour le photographe heureux d’être revenu dans sa ville." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1975, Alain Keler
TiragesDimanche 6 avril 1975. "New York. Le bureau de New York de Sygma, tenu par Eliane Laffont, me demande de faire des photos sur le troisième âge, dans des Nursing home, lieux privés nécessitant de la part du photographe une bonne dose de persuasion. Où vont paraître les photos, me demandait-on. Comme le travail n’était pas une commande d’un magazine, il m’était impossible de répondre autrement qu’en expliquant à chaque fois que je travaillais pour une agence qui fournissait des photos aux meilleurs magazines du monde, ce qui était à la fois vrai, mais aussi abstrait pour des personnes étrangères à la profession. Finalement, après avoir signé des papiers auprès de ces maisons de retraites, il me fut possible de passer du temps à photographier mes senior citizen américains." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (New-York), 1975, Alain Keler
TiragesNew York, cinquième avenue. Devant le stand des officiels pendant la parade traditionnelle de la Saint-Patrick. Lundi 17 Mars 1975. "Cette photo est restée quarante cinq ans dans une boîte, comme une belle endormie, parmi une vingtaine de films, oubliés et allongés paisiblement à côté d’autres films qui avaient été contactés depuis longtemps. Je ne l’ai découverte que l’année dernière pendant le premier confinement, la planche contact n’ayant été finalement imprimée qu’en mai 2020." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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America (Washington), 1973, Alain Keler
TiragesDimanche 20 janvier 1973. Washington D.C. "Jour de l’investiture de Richard Nixon pour son deuxième mandat à la présidence des États-Unis. Je prends un autobus de New York avec des opposants. Je ferai l’aller-retour dans la journée. Il y a beaucoup de monde. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam. L’affaire du Watergate (le cambriolage des locaux du Parti démocrate à Washington n’est encore qu’un fait divers), et Richard Nixon a été réélu lors des présidentielles de novembre 1972 avec l’une des plus larges majorités jamais obtenues aux Etats-Unis." Alain Keler, extraits de son livre Journal d'un Photographe900,00€ – 2 200,00€900,00€ – 2 200,00€ -
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Sabar, Gabriel Dia
Tirages"Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia1 400,00€1 400,00€ -
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Tirages"Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia1 400,00€1 400,00€ -
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Tirages"Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia1 400,00€1 400,00€ -
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Tirages"Cette série rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia1 400,00€1 400,00€ -
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Sabar, Gabriel Dia
Tirages"Cette série d’autoportraits rend hommage à une danse sénégalaise réservée aux femmes, le SABAR. Les hommes qui osent la danser se font traiter de tous les noms. Cela fut mon cas à l’âge de six ans. Ce souvenir de ma mère venant me chercher en furie dans cette foule de femmes a hanté mon enfance et mon adolescence. Et a sûrement été décisif dans mon choix de m’exiler en France à l’âge de dix huit ans, sous prétexte de faire des études. Vingt-six ans après, je décide de danser à nouveau le SABAR, en me dissimulant derrière un négatif qui opère comme un voile protecteur. Une façon d’affirmer mon homosexualité et de soulever la question de sa condamnation au Sénégal." - Gabriel Dia1 400,00€1 400,00€ -
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Burning, Gabriel Dia
TiragesAutoportraits contrariés des états émotionnels de Gabriel Dia lors du premier confinement 2020.1 800,00€1 800,00€ -
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TiragesAutoportraits contrariés des états émotionnels de Gabriel Dia lors du premier confinement 2020.1 800,00€1 800,00€ -
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Les Enveloppes : Guimauve, Charlotte Abramow
TiragesEn ayant recours à la peinture blanche, Charlotte Abramow détache le corps nu de son côté charnel et éveille une abstraction de ses formes. C’est pour l’artiste une façon d’esthétiser le corps différemment de ce que les médias nous partagent. En effet, ici, la peau devient de la guimauve ou de la pâte à pain... Le projet s’intitule « Les Enveloppes » pour souligner que le corps n’est en réalité qu’une enveloppe malléable. -
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Find Your Clitoris IV, Charlotte Abramow
TiragesCes images sont nées de la réflexion de Charlotte Abramow autour de l’hypersexualisation du corps féminin façonnée pour le regard de l’homme. Elle décide de consacrer une série nommée "Find Your Clitoris" dédiée aux femmes et à leur reconquête sexuelle personnelle, en représentant le désir et la masturbation à travers des gros plans évocateurs. En parallèle, cette série a pour but de briser la culpabilité et le « slutshaming » associés à la femme qui assume ses désirs et par la même occasion rompre les clichés qu’on lui associe.500,00€500,00€ -
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Find Your Clitoris III, Charlotte Abramow
TiragesCes images sont nées de la réflexion de Charlotte Abramow autour de l’hypersexualisation du corps féminin façonnée pour le regard de l’homme. Elle décide de consacrer une série nommée "Find Your Clitoris" dédiée aux femmes et à leur reconquête sexuelle personnelle, en représentant le désir et la masturbation à travers des gros plans évocateurs. En parallèle, cette série a pour but de briser la culpabilité et le « slutshaming » associés à la femme qui assume ses désirs et par la même occasion rompre les clichés qu’on lui associe.500,00€500,00€ -
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Find Your Clitoris II, Charlotte Abramow
TiragesCes images sont nées de la réflexion de Charlotte Abramow autour de l’hypersexualisation du corps féminin façonnée pour le regard de l’homme. Elle décide de consacrer une série nommée "Find Your Clitoris" dédiée aux femmes et à leur reconquête sexuelle personnelle, en représentant le désir et la masturbation à travers des gros plans évocateurs. En parallèle, cette série a pour but de briser la culpabilité et le « slutshaming » associés à la femme qui assume ses désirs et par la même occasion rompre les clichés qu’on lui associe.500,00€500,00€ -
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Absurde Censure, Charlotte Abramow
TiragesEn travaillant avec la chanteuse - peintre Claire Laffut, Charlotte Abramow lie la peinture et la photographie dans sa série "First Loves". Cette photo, inspirée par "Les Amants" de Magritte, avait pour but d'illustrer le sentiment amoureux. Pourtant, elle a été retirée d'Instagram quelques minutes après sa mise en ligne car jugée trop inappropriée. Perplexe, Charlotte décide de censurer le téton de la femme en le remplaçant par celui de l'homme afin de tester les limites de la censure sur Instagram. Cette deuxième version de la photo a été acceptée, ce qui a inspiré le titre "Absurde Censure".800,00€800,00€ -
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Gabrielle, Charlotte Abramow
TiragesPortrait de "Gabrielle" qui fait référence à l'énigmatique portrait anonyme de Gabrielle d'Éstrées.550,00€550,00€ -
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Équilibre instable et jaune, Charlotte Abramow
TiragesVoici l'interpretation de Charlotte Abramow du thème "Équilibre Instable" au cours de ses études aux Gobelins.550,00€550,00€ -
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Rouge sur Blanc, Charlotte Abramow
TiragesCharlotte Abramow propose une perspective féministe et féminine pour le clip "Les Passantes" de Georges Brassens. Elle s'inspire du vers "Vous ont, inutile folie" d'Antoine Pol. Charlotte évoque dans ce plan le tabou de la tache rouge de sang sur le pantalon blanc qui représente le rapport de honte associé aux règles. Elle propose alors une déconstruction de cette norme sociale en imaginant que la tache rouge est esthétique et désirée.400,00€400,00€ -
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Bleu III, Charlotte Abramow
TiragesCharlotte Abramow expérimente avec la couleur afin de transformer un corps non-binaire en paysage abstrait.550,00€550,00€ -
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Ekonda Botolo, 2020, Delphine Diallo
TiragesPhoto tirée de la série "God Is A Woman" de Delphine Diallo. Profil d'une femme sur fond jaune avec long chapeau (Botolo) de l'ethnie Ekonda en guise de couronne. Par le biais de ses portraits de femmes, Delphine Diallo lutte contre la vision masculine occidentale et coloniale de la femme. Pour cette série, chaque modèle a la liberté de choisir les pièces et accessoires qui la représente afin de s'incarner en déesse. Delphine Diallo noue une relation intime avec ses modèles afin de les transcender dans un espace mythologique. Elle déclare : Dieu est une femme.5 500,00€5 500,00€ -
Rupture de stockQuickview
Transcending, Delphine Diallo
TiragesCollage de Delphine Diallo "Transcending". Ce collage unique représente une femme à la tête coupée en deux laissant apparaître une sculpture maya.9 000,00€9 000,00€ -
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African Object II, Delphine Diallo
TiragesTirage de Delphine Diallo d'objets de culte, issu de sa série conçue autour d'une magnifique collection new-yorkaise d'artefacts africains.1 500,00€1 500,00€ -
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African Object I, Delphine Diallo
TiragesTirage de Delphine Diallo de trois peignes, issu de sa série conçue autour d'une magnifique collection new-yorkaise d'artefacts africains.1 500,00€1 500,00€ -
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Highness Samsara, 2015, Delphine Diallo
TiragesPhoto tirée de la série "Highness" de Delphine Diallo. Portrait d'une femme à la couronne de cheveux tressés en cercle par l'artisteEn expérimentant avec la sculpture, le design et la photographie, cette série imaginée par Delphine Diallo propose une vision d'une nouvelle ère qui accueille la naissance d'un futur évolué où le public expérimente le don qu'est la femme. 5 000,00€5 000,00€ -
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Rebirth, 2015, Delphine Diallo
TiragesPhoto tirée de la série "Highness" de Delphine Diallo. Portrait d'une femme, le visage peint en blanc par l'artiste. En expérimentant avec la sculpture, le design et la photographie, cette série imaginée par Delphine Diallo propose une vision d'une nouvelle ère qui accueille la naissance d'un futur évolué où le public expérimente le don qu'est la femme. 5 000,00€5 000,00€ -
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Oshun Yoruba Crown, 2020, Delphine Diallo
TiragesPhoto en noir et blanc tirée de la série "God is a Woman" de Delphine Diallo. Par le biais de ses portraits de femmes, Delphine Diallo lutte contre la vision masculine, occidentale et coloniale de la femme. Pour cette série, chaque modèle a la liberté de choisir les pièces et accessoires qui la représentent afin de s'incarner en déesse. Delphine Diallo noue une relation intime avec ses modèles afin de les transcender dans un espace mythologique. Elle déclare : dieu est une femme.5 500,00€5 500,00€ -
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The Ancestor’s Call, 2015, Delphine Diallo
TiragesCollage en noir et blanc de Delphine Diallo, composé d'un portrait de l'artiste recroquevillée sur elle-même réalisé par sa mère et un objet de culte africain.7 000,00€7 000,00€ -
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The Appearance of Kali, 2019, Delphine Diallo
TiragesAutoportrait de Delphine Diallo incarnant la divinité "Kali". Delphine Diallo incarne ici la terrifiante déesse Kali. Cette photo fait partie d'une série où l'artiste se métamorphose en différentes divinités féminines. Ce culte hindou perçoit la déesse Kali comme destructrice du mal.5 000,00€5 000,00€ -
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Phoenix, 2013, Delphine Diallo
Tirages"Phoenix" tirée de la série "Highness" de Delphine Diallo. Portrait de femme avec des symboles sur le dos de son crâne rasé. En expérimentant avec la sculpture, le design et la photographie, cette série imaginée par Delphine Diallo propose une vision d'une nouvelle ère qui accueille la naissance d'un futur évolué où le public expérimente le don qu'est la femme.5 000,00€5 000,00€ -