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(Re)découvrez vos publications préférées avec les Hors-Séries Fisheye.

Passionnés de réalité virtuelle, amateurs de noir et blanc, connaisseurs du travail de Salgado et autres défenseurs de la cause des femmes photographes… nous avons pensé à vous avec des numéros dédiés !

  • Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas
    Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas
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    Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas – Édition numérique

    Susan Meiselas, pionnière engagée Susan Meiselas est en 2019 la première lauréate du prix Women In Motion. Rien d’étonnant pour une femme qui a passé sa vie « en mouvement », et dont l’œuvre exigeante est tout entière tournée vers les autres, et vers les femmes en particulier. Comme avec Carnival Strippers, sa série originelle sur le strip-tease forain où elle jette les bases de sa manière de travailler. Toujours attentive aux personnes qu’elle photographie, recueillant leurs paroles, revenant les voir, continuant à prendre de nouvelles images, creusant encore et encore son sujet pour en extraire un ensemble documentaire au plus près, au plus juste. Un ensemble permettant de rendre compte d’une situation complexe le plus honnêtement possible. Plusieurs des personnalités sollicitées dans ce numéro pour écrire sur l’œuvre de cette photographe maintes fois primée et exposée partout dans le monde mettent l’accent sur la dimension chorale de son œuvre. Car Susan Meiselas n’est pas seulement photographe ; son parcours est jalonné d’autres « objets documentaires » : films, enregistrements sonores, reproductions d’archives, site internet... comme l’illustrent ses travaux en Amérique latine ou ceux sur le peuple kurde, notamment. Ses livres et ses expositions poursuivent une même recherche de vérité, de compréhension et de transmission. Susan Meiselas est aussi l’une des premières photographes à décrypter le parcours de ses images à travers la mécanique médiatique. Sa rétrospective Médiations, présentée au Jeu de Paume à Paris en 2018, l’a magistralement démontré. Susan Meiselas fut aussi, à seulement 28 ans, l’une des premières femmes à rejoindre la prestigieuse agence Magnum en 1976. Elle n’hésita pas non plus à faire bouger les lignes en se battant pour faire plus de place aux femmes au sein de l’agence — et plus généralement dans la photographie. Un combat qu’elle poursuit en créant la Fondation Magnum en 2008, afin de tendre la main aux nouvelles générations. L’éducation à l’image a aussi toujours fait partie de ses préoccupations : stages, conférences et publications — Looking to See en 1975 (Fondation Polaroid) et Eyes Open. 23 idées photographiques pour enfants curieux, en 2021 (éd. Delpire). Avec toujours en ligne de mire ces deux principes fondateurs : expliquer et transmettre. Susan Meiselas, en pionnière engagée, a ouvert la voie en recevant le prix Women In Motion décerné par Kering en partenariat avec les Rencontres d’Arles, en 2019. Une distinction que recevront par la suite Sabine Weiss (2020), Liz Johnson Artur (2021) et Babette Mangolte (2022). « Incontestablement, la parole des femmes est au cœur de l’œuvre de Susan Meiselas, en prise avec les mobilisations pour défendre leurs droits », analyse l’historienne de la photo Clara Bouveresse. Et l’ancienne directrice du Jeu de Paume qui dirige actuellement l’ENSP d’Arles, Marta Gili, de conclure : « Susan Meiselas a offert aux femmes la possibilité de s’emparer de leur image et de s’exprimer pour elles-mêmes, accompagnant les mobilisations féministes depuis la fin des années 1960. »
    5,00
  • Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas
    Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas
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    Hors-Série Collection Women in Motion Susan Meiselas

    Susan Meiselas, pionnière engagée Susan Meiselas est en 2019 la première lauréate du prix Women In Motion. Rien d’étonnant pour une femme qui a passé sa vie « en mouvement », et dont l’œuvre exigeante est tout entière tournée vers les autres, et vers les femmes en particulier. Comme avec Carnival Strippers, sa série originelle sur le strip-tease forain où elle jette les bases de sa manière de travailler. Toujours attentive aux personnes qu’elle photographie, recueillant leurs paroles, revenant les voir, continuant à prendre de nouvelles images, creusant encore et encore son sujet pour en extraire un ensemble documentaire au plus près, au plus juste. Un ensemble permettant de rendre compte d’une situation complexe le plus honnêtement possible. Plusieurs des personnalités sollicitées dans ce numéro pour écrire sur l’œuvre de cette photographe maintes fois primée et exposée partout dans le monde mettent l’accent sur la dimension chorale de son œuvre. Car Susan Meiselas n’est pas seulement photographe ; son parcours est jalonné d’autres « objets documentaires » : films, enregistrements sonores, reproductions d’archives, site internet... comme l’illustrent ses travaux en Amérique latine ou ceux sur le peuple kurde, notamment. Ses livres et ses expositions poursuivent une même recherche de vérité, de compréhension et de transmission. Susan Meiselas est aussi l’une des premières photographes à décrypter le parcours de ses images à travers la mécanique médiatique. Sa rétrospective Médiations, présentée au Jeu de Paume à Paris en 2018, l’a magistralement démontré. Susan Meiselas fut aussi, à seulement 28 ans, l’une des premières femmes à rejoindre la prestigieuse agence Magnum en 1976. Elle n’hésita pas non plus à faire bouger les lignes en se battant pour faire plus de place aux femmes au sein de l’agence — et plus généralement dans la photographie. Un combat qu’elle poursuit en créant la Fondation Magnum en 2008, afin de tendre la main aux nouvelles générations. L’éducation à l’image a aussi toujours fait partie de ses préoccupations : stages, conférences et publications — Looking to See en 1975 (Fondation Polaroid) et Eyes Open. 23 idées photographiques pour enfants curieux, en 2021 (éd. Delpire). Avec toujours en ligne de mire ces deux principes fondateurs : expliquer et transmettre. Susan Meiselas, en pionnière engagée, a ouvert la voie en recevant le prix Women In Motion décerné par Kering en partenariat avec les Rencontres d’Arles, en 2019. Une distinction que recevront par la suite Sabine Weiss (2020), Liz Johnson Artur (2021) et Babette Mangolte (2022). « Incontestablement, la parole des femmes est au cœur de l’œuvre de Susan Meiselas, en prise avec les mobilisations pour défendre leurs droits », analyse l’historienne de la photo Clara Bouveresse. Et l’ancienne directrice du Jeu de Paume qui dirige actuellement l’ENSP d’Arles, Marta Gili, de conclure : « Susan Meiselas a offert aux femmes la possibilité de s’emparer de leur image et de s’exprimer pour elles-mêmes, accompagnant les mobilisations féministes depuis la fin des années 1960. »
    12,90
  • Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss
    Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss
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    Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss – Édition numérique

    Sabine Weiss, la révélation permanente On croyait connaître Sabine Weiss, bercé·e·s par ses images d’enfants et de marginaux glanées au gré de ses voyages, autant de personnes photographiées avec tendresse et empathie. On l’a trop vite cataloguée dans la photographie humaniste, une case étriquée au regard d’un parcours qui mérite un élargissement de la perspective. Une ouverture et une mise en lumière qui ont notamment été permises par l’attribution du prix Women In Motion en 2020, et la superbe exposition Sabine Weiss, une vie de photographe organisée par les Rencontres d’Arles l’année suivante. Dans cette rétrospective orchestrée par Virginie Chardin, la photographe de 96 ans a pu montrer au public l’étendue de ses talents avec ses photos de reportage, d’illustration, de mode, de publicité, ses portraits d’artistes ou encore son travail personnel. Les nombreux témoignages rassemblés dans les 100 pages de ce hors-série qui lui rend hommage, tout juste un an après sa disparition, mettent en lumière la diversité des qualités de Sabine Weiss. Son empathie pour les personnes qu’elle photographiait, sa curiosité constante, son ouverture d’esprit, sa tendresse, mais aussi son humour, son irrévérence et sa malice qu’on devinait dans ses images comme dans son regard. Ce numéro s’inscrit dans la collection de hors-séries dédiés aux autres lauréates du prix Women In Motion décerné par Kering en partenariat avec les Rencontres d’Arles, qui a également récompensé Susan Meiselas en 2019, Liz Johnson Artur en 2021 et Babette Mangolte en 2022, et qui continue de mettre en lumière des parcours de grandes femmes photographes. La réécriture de l’histoire de la photographie à l’aune de ses autrices trop souvent oubliées n’en est qu’à ses prémices.
    5,00
  • Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss
    Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss
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    Hors-Série Collection Women in Motion Sabine Weiss

    Sabine Weiss, la révélation permanente On croyait connaître Sabine Weiss, bercé·e·s par ses images d’enfants et de marginaux glanées au gré de ses voyages, autant de personnes photographiées avec tendresse et empathie. On l’a trop vite cataloguée dans la photographie humaniste, une case étriquée au regard d’un parcours qui mérite un élargissement de la perspective. Une ouverture et une mise en lumière qui ont notamment été permises par l’attribution du prix Women In Motion en 2020, et la superbe exposition Sabine Weiss, une vie de photographe organisée par les Rencontres d’Arles l’année suivante. Dans cette rétrospective orchestrée par Virginie Chardin, la photographe de 96 ans a pu montrer au public l’étendue de ses talents avec ses photos de reportage, d’illustration, de mode, de publicité, ses portraits d’artistes ou encore son travail personnel. Les nombreux témoignages rassemblés dans les 100 pages de ce hors-série qui lui rend hommage, tout juste un an après sa disparition, mettent en lumière la diversité des qualités de Sabine Weiss. Son empathie pour les personnes qu’elle photographiait, sa curiosité constante, son ouverture d’esprit, sa tendresse, mais aussi son humour, son irrévérence et sa malice qu’on devinait dans ses images comme dans son regard. Ce numéro s’inscrit dans la collection de hors-séries dédiés aux autres lauréates du prix Women In Motion décerné par Kering en partenariat avec les Rencontres d’Arles, qui a également récompensé Susan Meiselas en 2019, Liz Johnson Artur en 2021 et Babette Mangolte en 2022, et qui continue de mettre en lumière des parcours de grandes femmes photographes. La réécriture de l’histoire de la photographie à l’aune de ses autrices trop souvent oubliées n’en est qu’à ses prémices.
    12,90
  • Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte
    Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte
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    Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte – Édition numérique

    Babette Mangolte, la femme à la caméra Après avoir récompensé Susan Meiselas en 2019, Sabine Weiss en 2020 et Liz Johnson Artur en 2021, c’est aujourd’hui la Franco-Américaine Babette Mangolte qui est mise en lumière grâce au 4e prix Women In Motion décerné par Kering, en partenariat avec les Rencontres d’Arles. Particulièrement original, le parcours de cette artiste balaie plusieurs décennies à travers de multiples créations photographiques, vidéographiques et cinématographiques. Pionnière dans sa manière de capter le mouvement et d’enregistrer les performances de l’avant-garde new-yorkaise depuis les années 1970, Babette Mangolte a également accompagné les créations de la cinéaste Chantal Akerman à de nombreuses reprises. Son œuvre, qui croise images fixes et images en mouvement, se trouvait donc en parfaite ligne de mire du prix Women In Motion qui, dès 2015 avec le Festival de Cannes, s’est attachée à mettre en lumière les femmes du cinéma – devant et derrière la caméra – avant de s’ouvrir à la photographie en 2019. Femme à la caméra, Babette Mangolte l’est donc à plus d’un titre, avec plus d’une vingtaine de films dans lesquels elle développe un langage cinématographique basé sur la subjectivité du point de vue. Un parcours qui éclaire l’œuvre de nombreux créateurs emblématiques comme Robert Whitman, Stuart Sherman, Joan Jonas, Steve Paxton, Yvonne Rainer, Simone Forti, Trisha Brown… et qu’analyse la curatrice Anne-Sophie Dinant. Enfin, María Inès Rodríguez, commissaire de l’exposition Capter le mouvement dans l’espace présentée aux Rencontres d’Arles cet été, nous livre ici quelques éléments clés pour mieux appréhender l’œuvre de cette artiste en recherche permanente.
    5,00
  • Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte
    Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte
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    Hors-Série Collection Women in Motion Babette Mangolte

    Babette Mangolte, la femme à la caméra Après avoir récompensé Susan Meiselas en 2019, Sabine Weiss en 2020 et Liz Johnson Artur en 2021, c’est aujourd’hui la Franco-Américaine Babette Mangolte qui est mise en lumière grâce au 4e prix Women In Motion décerné par Kering, en partenariat avec les Rencontres d’Arles. Particulièrement original, le parcours de cette artiste balaie plusieurs décennies à travers de multiples créations photographiques, vidéographiques et cinématographiques. Pionnière dans sa manière de capter le mouvement et d’enregistrer les performances de l’avant-garde new-yorkaise depuis les années 1970, Babette Mangolte a également accompagné les créations de la cinéaste Chantal Akerman à de nombreuses reprises. Son œuvre, qui croise images fixes et images en mouvement, se trouvait donc en parfaite ligne de mire du prix Women In Motion qui, dès 2015 avec le Festival de Cannes, s’est attachée à mettre en lumière les femmes du cinéma – devant et derrière la caméra – avant de s’ouvrir à la photographie en 2019. Femme à la caméra, Babette Mangolte l’est donc à plus d’un titre, avec plus d’une vingtaine de films dans lesquels elle développe un langage cinématographique basé sur la subjectivité du point de vue. Un parcours qui éclaire l’œuvre de nombreux créateurs emblématiques comme Robert Whitman, Stuart Sherman, Joan Jonas, Steve Paxton, Yvonne Rainer, Simone Forti, Trisha Brown… et qu’analyse la curatrice Anne-Sophie Dinant. Enfin, María Inès Rodríguez, commissaire de l’exposition Capter le mouvement dans l’espace présentée aux Rencontres d’Arles cet été, nous livre ici quelques éléments clés pour mieux appréhender l’œuvre de cette artiste en recherche permanente.
    12,90
  • Hors Série Fisheye Agence France Presse
    Hors Série Fisheye - AFP - Les Années Argentiques 1944 - 1998
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    Hors-Série Agence France-Presse – Les années argentiques 1944 – 1998 – Édition numérique

    Un oeil neuf sur 50 ans d'histoire

    Pour la première fois de son histoire, l’Agence France-Presse (AFP) expose une sélection de ses années argentiques (1944-1998), et organise une vente aux enchères. Le hors-série de Fisheye s’est plongé dans les quelque 200 pépites de ces cinq décennies pour vous en proposer les plus belles, et vous permettre de (re)découvrir des regards d’auteur jusqu’ici méconnus.
    5,00
  • Hors Série Fisheye - AFP - Les Années Argentiques 1944 - 1998
    Hors Série Fisheye - AFP - Les Années Argentiques 1944 - 1998
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    Hors-Série Agence France-Presse – Les années argentiques 1944 – 1998

    Un oeil neuf sur 50 ans d'histoire

    Pour la première fois de son histoire, l’Agence France-Presse (AFP) expose une sélection de ses années argentiques (1944-1998), et organise une vente aux enchères. Le hors-série de Fisheye s’est plongé dans les quelque 200 pépites de ces cinq décennies pour vous en proposer les plus belles, et vous permettre de (re)découvrir des regards d’auteur jusqu’ici méconnus.
    12,90
  • Hors-Série - Collection Women in Motion - Liz Johnson Artur
    Hors-Série - Collection Women in Motion - Liz Johnson Artur
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    Hors-Série Collection Women in Motion Liz Johnson Artur – Édition numérique

    Mise en lumière des femmes photographes

    Après le hors-série Fisheye Classics consacré à Sebastião Salgado publié au printemps 2020, une nouvelle collection dédiée aux femmes photographes voit le jour cet été. Dédiés aux artistes récompensées par le prix Kering Women In Motion, ces nouveaux hors-séries se composent comme une monographie : entretien avec la photographe, biographie, portfolio d’environ 80 pages, et postface pour mettre en perspective le parcours de l’autrice. Après Susan Meiselas en 2019 et Sabine Weiss l’an dernier, c’est aujourd’hui Liz Johnson Artur qui reçoit le prix Women In Motion 2021, et c’est également elle qui lance cette nouvelle collection. La photographe présentera son travail consacré à la diaspora africaine dans le monde et partagera son regard sur la place des femmes dans la photographie le 5 juillet au Théâtre Antique, aux Rencontres d’Arles. Une partie de ses images sera également présentée à l’exposition Masculinités.
    5,00
  • Hors-Série - Collection Women in Motion - Liz Johnson Artur
    Hors-Série - Collection Women in Motion - Liz Johnson Artur
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    Hors-Série Collection Women in Motion Liz Johnson Artur

    Mise en lumière des femmes photographes

    Après le hors-série Fisheye Classics consacré à Sebastião Salgado publié au printemps 2020, une nouvelle collection dédiée aux femmes photographes voit le jour cet été. Dédiés aux artistes récompensées par le prix Kering Women In Motion, ces nouveaux hors-séries se composent comme une monographie : entretien avec la photographe, biographie, portfolio d’environ 80 pages, et postface pour mettre en perspective le parcours de l’autrice. Après Susan Meiselas en 2019 et Sabine Weiss l’an dernier, c’est aujourd’hui Liz Johnson Artur qui reçoit le prix Women In Motion 2021, et c’est également elle qui lance cette nouvelle collection. La photographe présentera son travail consacré à la diaspora africaine dans le monde et partagera son regard sur la place des femmes dans la photographie le 5 juillet au Théâtre Antique, aux Rencontres d’Arles. Une partie de ses images sera également présentée à l’exposition Masculinités.
    12,90
  • Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado - Édition numérique
    Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado - Édition numérique
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    Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado – Édition numérique

    Une lettre d'amour à la nature

    L’équipe de Fisheye est fière d’ouvrir sa nouvelle collection Classic avec Sebastião Salgado, le célèbre photographe qui, depuis plus de quatre décennies, produit une œuvre internationalement reconnue. Autres Amériques, La Main de l’homme, Exodes, ou encore Genesis, son formidable poème hommage aux origines de la planète (que vous pouvez découvrir à La Sucrière, à Lyon, jusqu’au 10 mai 2020, et dans les pages de ce hors-série), sont autant de fresques photographiques qui font prendre conscience des mutations de notre monde. L’urgence écologique, qui se manifeste aujourd’hui à travers de nombreuses catastrophes, était déjà dans plusieurs de ses travaux, comme dans la création de l’Instituto Terra en 1998 qui a permis de planter plus de 2,7 millions d’arbres au Brésil. Ses images vues aux quatre coins du globe – grâce aux expositions et aux livres conçus par sa femme Lélia Wanick Salgado – ont également inspiré le métier de photographe à des générations de jeunes gens. Et si Fisheye reste principalement orienté vers la photographie émergente et les nouvelles écritures, nous n’en demeurons pas moins attentifs à l’histoire du médium et à ses figures marquantes qui jalonnent son histoire. Certains, comme Sebastião Salgado, sont même devenus des académiciens. Des véritables immortels. Des classics !
    5,00
  • Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado
    Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado
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    Hors-Série Collection Classics Sebastião Salgado

    Une lettre d'amour à la nature

    L’équipe de Fisheye est fière d’ouvrir sa nouvelle collection Classic avec Sebastião Salgado, le célèbre photographe qui, depuis plus de quatre décennies, produit une œuvre internationalement reconnue. Autres Amériques, La Main de l’homme, Exodes, ou encore Genesis, son formidable poème hommage aux origines de la planète (que vous pouvez découvrir à La Sucrière, à Lyon, jusqu’au 10 mai 2020, et dans les pages de ce hors-série), sont autant de fresques photographiques qui font prendre conscience des mutations de notre monde. L’urgence écologique, qui se manifeste aujourd’hui à travers de nombreuses catastrophes, était déjà dans plusieurs de ses travaux, comme dans la création de l’Instituto Terra en 1998 qui a permis de planter plus de 2,7 millions d’arbres au Brésil. Ses images vues aux quatre coins du globe – grâce aux expositions et aux livres conçus par sa femme Lélia Wanick Salgado – ont également inspiré le métier de photographe à des générations de jeunes gens. Et si Fisheye reste principalement orienté vers la photographie émergente et les nouvelles écritures, nous n’en demeurons pas moins attentifs à l’histoire du médium et à ses figures marquantes qui jalonnent son histoire. Certains, comme Sebastião Salgado, sont même devenus des académiciens. Des véritables immortels. Des classics !
    12,90
  • Hors-Série #6 - Édition numérique
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    Hors-Série #6 – Édition numérique

    Arles, 50 ans de rencontres

    Cinquante ans de mariage entre la photo, Arles et le reste du monde, cela mérite un anniversaire exceptionnel. À 50 ans, les noces sont d’or, ce qui peut sembler un peu banal ou entendu. Mais ce qui se passe à Arles depuis cinquante ans n’a rien de banal ou d’entendu. Qui aurait imaginé qu’une ville empreinte des tourments post-industriels, envahie de moustiques et loin des circuits habituels de la Provence glamour, devienne la capitale mondiale de la photographie ? Une évidence désormais, qui s’est forgée à l’ombre de la place du Forum, été après été, rosé après rosé, pour devenir aujourd’hui un rendez-vous incontournable qui attire photographes, scénographes, éditeurs, collectionneurs, conservateurs et tous les curieux d’une image en évolution. Arles a consacré la photographie comme un art, et plus encore que le média, les Rencontres ont distingué les femmes et les hommes qui lui ont donné vie. C’est par le prisme de l’humain que nous avons choisi de conter cinquante ans de bouleversements, de prises de risques et de débats passionnés. Les Rencontres, dans le regard des acteurs qui les ont façonnées, vécues. Tels des archéologues, nous sommes allés en quête d’images, de témoignages et du sens caché d’une histoire en mouvement. Ce hors-série vous sera évidemment utile cet été pour approfondir votre lecture de cette 50e édition des Rencontres, mais c’est aussi un momentum qui aura encore toute sa valeur dans quelques années. Cela nous semblait logique de réaliser un magazine papier à l’occasion de cet anniversaire, car Arles a consacré la photographie sur support papier à travers les tirages et les livres. Certes, de nouvelles formes d’images apparaissent au sein des Rencontres, comme le très remarqué VR Arles festival, dédié aux projets immersifs, mais le papier occupe une place à part à Arles. Ce hors-série interroge aussi la relation particulière et intime que nous entretenons aux Rencontres. Fisheye y trouve sa genèse et a décidé d’embrasser un peu plus ce destin en y installant de manière permanente une galerie. Les Rencontres, comme le dit Sam Stourdzé, directeur de la manifestation, sont « un bien commun dont il faut prendre soin ». C’est aussi un terreau fertile qui a permis l’émergence de la Fondation Vincent Van Gogh, la Fondation Luma, les Voies Off, bientôt la Fondation Lee Ufan, et bien d’autres choses encore. Cette ressource doit être conservée pour le futur.
    3,00
  • Hors-Série #6
    Hors-Série #6
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    Hors-Série #6

    Arles, 50 ans de rencontres

    Cinquante ans de mariage entre la photo, Arles et le reste du monde, cela mérite un anniversaire exceptionnel. À 50 ans, les noces sont d’or, ce qui peut sembler un peu banal ou entendu. Mais ce qui se passe à Arles depuis cinquante ans n’a rien de banal ou d’entendu. Qui aurait imaginé qu’une ville empreinte des tourments post-industriels, envahie de moustiques et loin des circuits habituels de la Provence glamour, devienne la capitale mondiale de la photographie ? Une évidence désormais, qui s’est forgée à l’ombre de la place du Forum, été après été, rosé après rosé, pour devenir aujourd’hui un rendez-vous incontournable qui attire photographes, scénographes, éditeurs, collectionneurs, conservateurs et tous les curieux d’une image en évolution. Arles a consacré la photographie comme un art, et plus encore que le média, les Rencontres ont distingué les femmes et les hommes qui lui ont donné vie. C’est par le prisme de l’humain que nous avons choisi de conter cinquante ans de bouleversements, de prises de risques et de débats passionnés. Les Rencontres, dans le regard des acteurs qui les ont façonnées, vécues. Tels des archéologues, nous sommes allés en quête d’images, de témoignages et du sens caché d’une histoire en mouvement. Ce hors-série vous sera évidemment utile cet été pour approfondir votre lecture de cette 50e édition des Rencontres, mais c’est aussi un momentum qui aura encore toute sa valeur dans quelques années. Cela nous semblait logique de réaliser un magazine papier à l’occasion de cet anniversaire, car Arles a consacré la photographie sur support papier à travers les tirages et les livres. Certes, de nouvelles formes d’images apparaissent au sein des Rencontres, comme le très remarqué VR Arles festival, dédié aux projets immersifs, mais le papier occupe une place à part à Arles. Ce hors-série interroge aussi la relation particulière et intime que nous entretenons aux Rencontres. Fisheye y trouve sa genèse et a décidé d’embrasser un peu plus ce destin en y installant de manière permanente une galerie. Les Rencontres, comme le dit Sam Stourdzé, directeur de la manifestation, sont « un bien commun dont il faut prendre soin ». C’est aussi un terreau fertile qui a permis l’émergence de la Fondation Vincent Van Gogh, la Fondation Luma, les Voies Off, bientôt la Fondation Lee Ufan, et bien d’autres choses encore. Cette ressource doit être conservée pour le futur.
    9,90
  • Hors-Série #5 - Édition numérique
    Hors-Série #5 - Édition numérique
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    Hors-Série #5 – Édition numérique

    Champ des possibles

    Consacrer un hors-série aux diplômés des écoles photo du monde entier… C’est le projet que nous avons décidé de mener, car il met à l’honneur la liberté de créer. Le diplôme de fin d’études, spécialement dans une école photo, est un moment de création intense. L’artiste photographe en devenir n’aura plus vraiment le loisir de consacrer six mois à un projet sans autre pression que celle de l’inventivité et de la qualité. C’est cet instant de grâce que nous avons traqué, parmi les centaines de dossiers envoyés par des élèves de la promotion 2018. Plus de cent écoles photo ont répondu à l’appel international, mais nous avons choisi de vous présenter une trentaine de travaux qui représentent le meilleur de la création actuelle. Disloquant les frontières mêmes de l’esthétique, ces jeunes auteurs cherchent à dépasser le champ des possibles et à inventer une nouvelle manière de penser l’image. À Fisheye, nous sommes plus que jamais attentifs aux formes émergentes de la photographie. Quoi de plus intense qu’une image qui sort du lot, là où tout semble avoir déjà été exploré ou montré. Repousser les limites : voici l’ambition de ce hors-série qui se veut un observatoire annuel des évolutions de la formation et de la création photo.
    3,00
  • Hors-Série #5
    Hors-Série #5
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    Hors-Série #5

    Champ des possibles

    Consacrer un hors-série aux diplômés des écoles photo du monde entier… C’est le projet que nous avons décidé de mener, car il met à l’honneur la liberté de créer. Le diplôme de fin d’études, spécialement dans une école photo, est un moment de création intense. L’artiste photographe en devenir n’aura plus vraiment le loisir de consacrer six mois à un projet sans autre pression que celle de l’inventivité et de la qualité. C’est cet instant de grâce que nous avons traqué, parmi les centaines de dossiers envoyés par des élèves de la promotion 2018. Plus de cent écoles photo ont répondu à l’appel international, mais nous avons choisi de vous présenter une trentaine de travaux qui représentent le meilleur de la création actuelle. Disloquant les frontières mêmes de l’esthétique, ces jeunes auteurs cherchent à dépasser le champ des possibles et à inventer une nouvelle manière de penser l’image. À Fisheye, nous sommes plus que jamais attentifs aux formes émergentes de la photographie. Quoi de plus intense qu’une image qui sort du lot, là où tout semble avoir déjà été exploré ou montré. Repousser les limites : voici l’ambition de ce hors-série qui se veut un observatoire annuel des évolutions de la formation et de la création photo.
    5,50
  • Hors-Série #4 - Édition numérique
    Hors-Série #4 - Édition numérique
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    Hors-Série #4 – Édition numérique

    Immersion dans le monde virtuel des artistes

    Depuis six ans déjà, la réalité virtuelle est devenue un nom familier qui transcende notre vision des possibles pour ceux qui ont pu l’essayer. Une petite révolution qu’on peut rapprocher de l'éclosion d’Internet dans les années 1990. Cette fois-ci aussi, l’engouement est massif, comme le sont les investissements et les promesses technologiques sidérantes. Mais à quoi ça sert la réalité virtuelle exactement ? Là, ce sont les artistes qui, selon nous, offrent la meilleure réponse : ce sont eux qui explorent avec appétit les possibilités expressives d’un médium tout entier tourné vers la sensation et l’immersion. Quoi de plus normal pour eux qui sont habitués à chercher, dans leur sensibilité et leur histoire, le matériau de perceptions intenses. Loin des sensations gratuites des montagnes russes ou des zombies, il existe une autre réalité virtuelle qui réenchante nos perspectives, génère de la poésie et élargit le champ de nos possibles.
    3,00
  • Hors-Série #4
    Hors-Série #4
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    Hors-Série #4

    Immersion dans le monde virtuel des artistes

    Depuis six ans déjà, la réalité virtuelle est devenue un nom familier qui transcende notre vision des possibles pour ceux qui ont pu l’essayer. Une petite révolution qu’on peut rapprocher de l'éclosion d’Internet dans les années 1990. Cette fois-ci aussi, l’engouement est massif, comme le sont les investissements et les promesses technologiques sidérantes. Mais à quoi ça sert la réalité virtuelle exactement ? Là, ce sont les artistes qui, selon nous, offrent la meilleure réponse : ce sont eux qui explorent avec appétit les possibilités expressives d’un médium tout entier tourné vers la sensation et l’immersion. Quoi de plus normal pour eux qui sont habitués à chercher, dans leur sensibilité et leur histoire, le matériau de perceptions intenses. Loin des sensations gratuites des montagnes russes ou des zombies, il existe une autre réalité virtuelle qui réenchante nos perspectives, génère de la poésie et élargit le champ de nos possibles.
    6,50
  • Hors-Série #3 - Édition numérique
    Hors-Série #3 - Édition numérique
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    Hors-Série #3 – Édition numérique

    Femmes photographes, une sous-exposition manifeste

    Les femmes photographes sont partout : dans la mode, le photojournalisme, la photo documentaire, les approches plasticiennes… Pourtant, quand on y regarde de plus près, quand on commence à les compter, dans les festivals, les expositions, les publications, les prix, sur le marché de l’art, la parité n’est pas au rendez-vous, et même bien pire que cela. Quand nous avons commencé à enquêter sur cette question, les chiffres nous ont étonnés, et nous avons décidé de leur donner une large place dans ce hors-série. Parce que les impressions diffuses que l’on peut avoir ont besoin de faits indiscutables pour lever toute ambiguïté. On lira aussi avec des témoignages de femmes que la situation est encore difficile pour nombre d’entre elles, même si les prises de position de certains acteurs de la photo donnent l’impression que les choses commencent à bouger. Un sentiment perceptible à l’étranger, comme le soulignent les dernières publications d’Aperture et du British Journal of Photography consacrées au féminisme. Ou dans nos échanges quotidiens avec des femmes qui revendiquent une égalité de traitement pour être perçues avant tout comme photographes. Ce qui était à l’origine un dossier s’est transformé, au cours des discussions, en hors-série. Toute la rédaction de Fisheye, principalement féminine, et les collaboratrices extérieures se sont mobilisées pour mener à bien ce numéro. Nous n’avons pas ici la prétention de faire le tour de la question, ni de donner de leçon à quiconque, mais nous pensons qu’une prise de conscience est aujourd’hui nécessaire pour que les choses changent. C’est tout le sens de ce numéro. Un numéro précédé d’un manifeste qui dresse un état des lieux et revendique des changements concrets. C’est à vous désormais de vous en emparer en le diffusant, en débattant de cette question et en faisant bouger les choses à votre niveau. La réponse n’est pas unique, elle est collective, elle est quotidienne, elle est pérenne, et elle est structurelle. Désormais, nous ne pourrons plus dire « je ne savais pas ».
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  • Hors-Série #3
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    Hors-Série #3

    Femmes photographes, une sous-exposition manifeste

    Les femmes photographes sont partout : dans la mode, le photojournalisme, la photo documentaire, les approches plasticiennes… Pourtant, quand on y regarde de plus près, quand on commence à les compter, dans les festivals, les expositions, les publications, les prix, sur le marché de l’art, la parité n’est pas au rendez-vous, et même bien pire que cela. Quand nous avons commencé à enquêter sur cette question, les chiffres nous ont étonnés, et nous avons décidé de leur donner une large place dans ce hors-série. Parce que les impressions diffuses que l’on peut avoir ont besoin de faits indiscutables pour lever toute ambiguïté. On lira aussi avec des témoignages de femmes que la situation est encore difficile pour nombre d’entre elles, même si les prises de position de certains acteurs de la photo donnent l’impression que les choses commencent à bouger. Un sentiment perceptible à l’étranger, comme le soulignent les dernières publications d’Aperture et du British Journal of Photography consacrées au féminisme. Ou dans nos échanges quotidiens avec des femmes qui revendiquent une égalité de traitement pour être perçues avant tout comme photographes. Ce qui était à l’origine un dossier s’est transformé, au cours des discussions, en hors-série. Toute la rédaction de Fisheye, principalement féminine, et les collaboratrices extérieures se sont mobilisées pour mener à bien ce numéro. Nous n’avons pas ici la prétention de faire le tour de la question, ni de donner de leçon à quiconque, mais nous pensons qu’une prise de conscience est aujourd’hui nécessaire pour que les choses changent. C’est tout le sens de ce numéro. Un numéro précédé d’un manifeste qui dresse un état des lieux et revendique des changements concrets. C’est à vous désormais de vous en emparer en le diffusant, en débattant de cette question et en faisant bouger les choses à votre niveau. La réponse n’est pas unique, elle est collective, elle est quotidienne, elle est pérenne, et elle est structurelle. Désormais, nous ne pourrons plus dire « je ne savais pas ».
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