Pendant la durée des Rencontres, la Fisheye Gallery prend ses quartiers d’été à Arles et s’installe au Magasin de jouets. L’occasion de découvrir un nouveau concept destiné à mettre en avant les talents émergents sur le marché du tirage, à un prix accessible.

En attendant d’ouvrir son espace parisien à la rentrée, la Fisheye Gallery a décidé de faire un détour par les Rencontres Arles et d’inaugurer sa première exposition des espoirs de la photographie contemporaine. Les cinq premiers auteurs retenus – Julie Hascoët, Julien Lombardi, Julien Magre, Axel Morin et Brice Portolano présentent chacun cinq images sur le thème de la route. Ces épreuves, tirées à cinq exemplaires avec le partenariat du laboratoire Picto, seront mises en vente au prix de 500 euros pièce. Une manière de prolonger le soutien que Fisheye apporte aux jeunes auteurs à travers ses différentes publications dans le magazine, sur le site et les réseaux sociaux.

« Tree stop ». Photo extraite de la série « A Romanian train story », © Julien Magre

Trois fois pas an, la Fisheye Gallery mettra en avant cinq nouveaux photographes en leur donnant l’occasion de faire leurs premiers pas sur le marché du tirage limité. Ces expositions contribueront à la visibilité de ces auteurs, et la vente des épreuves permettra de les épauler financièrement. Ces nouveaux rendez-vous seront aussi l’occasion de rencontrer les photographes, ainsi que l’équipe de Fisheye, qui vous réserve d’autres surprises…

Pour cette ouverture arlésienne, et dans la continuité du thème de la route, le Magasin de jouets présente également Joe’s Road, le dernier road trip de Maud Chalard et Théo Gosselin. Une virée de 20 000 km dans dix-huit États d’Amérique en toute liberté. Trois mois de balade amoureuse à travers villes et déserts, montagnes et rivières, que les deux photographes nous donnent en partage avec leurs images. Des photos qui seront en partie exposées, et qu’on retrouvera dans le livre qu’ils viennent de publier.

« Run, Run, Run ». Photo extraite de la série « Joe’s Road » / © Maud Chalard et Théo Gosselin