© Adrien Landre et Julien Soulier.

À faire

1. C’est le dernier week-end pour aller voir Fast Night. Une exposition aux couleurs étonnantes (voir ci-dessus) : celles de la nuit en Angleterre. Adrien Landre et Julien Soulier ont sillonné les rues de Blackpool pour photographier tatoués, jeunes et moins jeunes loubards. 

« Fast Night », jusqu’au lundi 28 avril. À la Galerie Spree, 11, rue de La Vieuville, 75018 Paris.

© Adrien Landre et Julien Soulier

 

 2. Le studio Hans Lucas organise un échange demain à l’espace Beaurepaire. Karen Assayag & Léa, Virginie Terrasse, Rafael Yaghobzadeh, Alex Cretey-Systermans et Pierre Faure y présenteront leur travail. 

Temps fort #3 « Les rencontres animées de la fabrique » de 19 heures à 21 heures à l’espace Beaurepaire. Plus d’infos ici.

© Virginie Terrasse.

  

3. « ASCO & Friends : Exiled Portraits », c’est une exposition d’un groupe d’artistes chicanos, actifs à L.A. Ce collectif, qui en avait marre que cette culture ne soit pas représentée dans les médias, a utilisé les codes du cinéma pour « fabriquer des narrations alternatives par autodocumentation », comme le dit la galerie qui l’accueille. En plus, ce soir il y a une nocturne en musique jusqu’à 22 heures. 

« ASCO & Friends : Exiled Portraits » jusqu’au 6 juillet. À la Friche La Belle de mai, 41, rue Jobin, 13003 Marseille. 

 

À lire 

On a hésité à le mettre dans la sélection de livres du prochain numéro, mais d’autres ont eu raison de lui. Il vaut quand même le coup d’être présenté : Ancrages est un travail qu’a effectué Arno Brignon en 2013 pour une résidence dans les rues de Corbeil-Essonnes (91), dans le cadre du festival L’Oeil urbain. Une série, un brin dramatique, de 27 photos en noir et blanc sur la banlieue.

Arno Brignon, « Ancrages », Les Éditions de Juillet / La Résidence, 56 pages, 25 €.

© Arno Brignon.

 

À cliquer 

Google Street View  vient de mettre au point une nouvelle fonctionnalité. En plus de montrer à nos copains à quoi ressemble notre appart pour la prochaine soirée, on pourra leur montrer comment c’était il y a cinq ans (oui, parce que l’outil ne remonte pas non plus à 1863) !