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Fisheye x Nicéphore + : Du sacré au profane

Concours Terminé

Long chemin de croix et de choix, qui conduit, depuis les images qui ont enluminé bien des ouvrages religieux de notre occident chrétien, jusqu’au aux interprétations et extrapolations que le mythe a pu susciter dans tous les domaines de l’art jusqu’à aujourd’hui. La photographie n’en a pas été absoute, donnant lieu à des œuvres majeures, parfois décriées, mais toujours remarquées.

Pour les 15 années d’existence de la biennale internationale de photographie Nicephore + et les vingt ans de l’association Sténopé qui la porte, cette édition 2020 sera consacrée à cette foisonnante iconographie.

À cette occasion, l’association Sténopé et Fisheye s’associent et lancent le concours « Du sacré au profane » qui, loin de tout anticléricalisme forcené, veut  simplement donner à voir tout ce que le mystère peut suggérer comme images plastiques, caustiques, amusantes, détournées, poétiques, insolentes… Religions, croyances, spiritualités… Quelles sont vos visions du profane et du sacré ?

© Anita Sciano

© Mathieu Gafsou

© Cha Gonzalez

© Cyril Abad

Le jury sera composé de Patrick Ehme, directeur artistique de nicéphore +, Cyril Abad, photographe et d’Anaïs Viand, la rédactrice en chef du site Fisheye. Il délibérera fin août. Les résultats seront publiés sur cette page début septembre.

Les vingt lauréats seront exposés durant la biennale, qui se déroulera du 10 au 31 octobre 2020.

1er prix : Céline Croze

« Je fais le même rêve depuis des années, il fait nuit et je suis entourée d’eau, l’atmosphère est lourde, chargée d’une tension dont je ne connais pas le sens. L’univers de mes photos est similaire à celui de mes rêves, celui d’un monde au bord du précipice. L’imminence d’un danger. L’urgence d’un geste, d’un cri. C’est une oscillation constante du visible à l’invisible, entre ce qui se révèle et ce qui disparait. Toujours à la limite de la cassure traduisant la vulnérabilité du monde que je regarde. Puis il y a ces corps comme des territoires et ces lieux qui débordent sur ces corps. Mon œil fait glisser lentement les personnages que je croise vers une histoire au climat trouble, comme les fantômes d’une société fracturée au travers d’une quête visuelle sacrée. »

Elle remporte un Fisheye Photo Review (35 €).

© Céline Croze

2e prix : Marian Goledzinowski

« Ainsi soit-il. »

Il remporte un abonnement d’un an à Fisheye (32 €).

© Marian Goledzinowski

3e prix : Nicolas Rivals

Il remporte la collection de Photobook (30 €).

© Nicolas Rivals

Francois-Xavier Marciat

© Francois-Xavier Marciat

Alexandre Silberman

© Alexandre Silberman

Quentin Fagart

© Quentin Fagart

Martin Bertrand

© Martin Bertrand

Hervé Chatel

© Hervé Chatel

Pascal Tourre

© Pascal Tourre

Laura Luccioni

© Laura Luccioni

Brice Krummenacker

© Brice Krummenacker

Sandra Beauchard

© Sandra Beauchard

Idris Bigou-Gilles

© Idris Bigou-Gilles

Naïma Achour

© Naïma Achour

Magali Ballet

© Magali Ballet

Nando Guizzi

© Nando Guizzi

Flavien Durand

© Flavien Durand

Fabienne Mondie

© Fabienne Mondie

Julie Bretenet

© Julie Bretenet

Valérie Gondran

© Valérie Gondran