Finished

SUPER TERRAM

10.0219.03
Espace Voltaire
81 Boulevard Voltaire, 75011 Paris
Fondation Desperados pour l'Art Urbain
Convié par la Fondation Desperados pour l’Art Urbain, l’artiste-curateur Gaël Lefeuvre invite, au sein de l’exposition SUPER TERRAM qu’il a imaginée, onze artistes internationaux parmi les plus avant-gardistes de la scène urbaine contemporaine : Michael Beitz, Matteo Berardone, Gonzalo Borondo, CELA, A.L. Crego, Germain Ipin, Joaquín Jara, Amir Roti, Seth, Axel Void et Addam Yekutieli (alias Know Hope).SUPER TERRAM, terme […]
08 February 2023   •  
Written by Cassandre Thomas
SUPER TERRAM

Convié par la Fondation Desperados pour l’Art Urbain, l’artiste-curateur Gaël Lefeuvre invite, au sein de l’exposition SUPER TERRAM qu’il a imaginée, onze artistes internationaux parmi les plus avant-gardistes de la scène urbaine contemporaine : Michael Beitz, Matteo Berardone, Gonzalo Borondo, CELA, A.L. Crego, Germain Ipin, Joaquín Jara, Amir Roti, Seth, Axel Void et Addam Yekutieli (alias Know Hope).

SUPER TERRAM, terme latin signifiant « hors sol », se présente comme une allégorie de nos vies contemporaines artificielles déconnectées de la Nature, du spirituel et de nos sentiments. Composée d’œuvres uniques réalisées in situ, l’exposition évolue au fil des jours dans un espace enseveli de terre autour d’une thématique forte et percutante : le cycle de la vie.

La Fondation Desperados pour l’Art Urbain investit les 3000m2 de l’Espace Voltaire, ancienne manufacture parisienne, durant cinq semaines. L’exposition présente des installations visuelles et sonores, des peintures, des sculptures, mais aussi des œuvres d’art numérique, pour la plupart réalisées sur place lors d’une résidence qui s’est apparentée à un véritable laboratoire de recherches artistiques. Se voulant immersif, cet évènement à la frontière entre art urbain et art contemporain invite les visiteur·ices à se questionner sur leur rapport à la nature, à la vie et à la fragilité de notre environnement. 

Composées d’éléments naturels et organiques (terre, bois, roche, végétation…), les œuvres semblent sortir de terre pour « interroger notre condition humaine ». Leur caractère changeant, vivant et éphémère, aborde notre rapport au temps, aux éléments, à nos références ancestrales et modernes, à nos mémoires et au sacré. Ainsi, les artistes invitent à prendre conscience du cycle continu « construction-destruction » propre à l’existence.

 

L’entrée de cette expérience sensorielle est libre et gratuite.

Gonzalo Borondo, Éter, 2021 © photo : Roberto Conte

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