« Depuis une dizaine d’années Philippe-Alexandre Chevallier sillonne l’Afrique « sauvage » et les morceaux épars d’un continent encore préservé pour un temps des dégâts que l’Homme inflige à la planète. Pour Philippe-Alexandre Chevallier, les images, toujours prises au plus près, en symbiose entre la nature, l’animal et le photographe, dépassent leur valeur esthétique : elles sont le témoignage d’un monde fragile, peut-être en voie de disparition », Alain Wieder.

Galerie Heoga